La démographie est un sujet délicat au combien, si l'on en croit les prévisions nous sommes en chemin pour atteindre près de 10 milliards d'humains sur la planète à l'horizon 2100, c' est à dire qu'un enfants qui naît aujourd'hui a un bon % de chance de finir sa vie avec plus de 9 milliards de congénères.
Cette croissance démographique très diversement étendu fait craindre pour bon nombre de raisons, la plus commentée étant certainement celle des ressources alimentaires.
L'impact environnemental, étant le second sujet qui pose le plus de questions à mon sens, sauf que les projections faîtes jusque là vont peut-être se heurter à des évolutions justement 'environnementales' encore incertaines à ce jours, je veux parler d'abords du l'évolution climatique qui pourrait bien à elle seule décimer en divers points du globe quantité d'êtres humains par diverses catastrophes météorologiques, alimentaires, sanitaires, ou liées à diverses pollutions d'origine anthropique etc...
Cette dernière cause citée retient particulièrement mon attention, car deux phénomènes sont en train de se voir révélés depuis quelques temps au fil de diverses études et recherches, le premier, qui tend à démontrer que la nature se féminise, et second qui apparaît dévoilant une baisse quantitative des spermatozoïdes, c'est cette dernière qui m'amène à ce billet :
http://presse-inserm.fr/jeudi-06-decembre-2012/5723/
Extrait :
L’Institut national de veille sanitaire (InVS) a publié, hier, dans la revue européenne Human Reproduction, une étude qui révèle que « le nombre de spermatozoïdes contenus dans le sperme des Français a chuté de quasiment un tiers en 17 ans », soit 32,2% entre 1989 et 2005, indiquent Aujourd’hui en France et Le Monde, ainsi que les médias télévisuels et radiophoniques. Les spermatozoïdes n’étaient « plus que » 49,9 millions/ml de sperme en 2005 pour un homme de 35 ans, contre 73,6 millions/ml en 1989.
Je ne crois pas que ce qui est mis en évidence là ne se constate qu'en France, cette tendance, est je crois très probablement vérifiables dans nombres de pays dont les consommations et usages sont proches.
Alors je me pose la question, à ce rythme là combien la terre supportera-t'elle de survivants en 2100 ?