La croissance qu'on nous vend comme vecteur d'emplois et de création de richesses, du jaune de l'or à viré au noir de charbon et de pétrole pour se verdir maintenant d'une prétention "écologique" contrefaite et trompeuse.
L'exemplarité de l'efficacité du modèle allemand ne démontre pas que des choix reluisants, après les trompeurs d'émissions polluantes des motorisations, dont on sait maintenant que la première révélation d'outre-Rhin n'a été qu'une préface, voilà les constructeurs automobiles en pointe émergé de ce qui pourrait bien être un iceberg des tests grandeurs natures en presque conditions ordinaires de vie sur des humains et sur des animaux dont les mauvais résultats prouvés en ce qui concerne les singes, ont bien sûr été dissimulés, c'est quoi la prochaine étape dans l'ignominie?
Animaux et humains cobayes avérés!
Le développement doit maintenant être durable, il ne l'était donc pas!
Il se doit aussi d'être vert, le développement sera écologique ou ne sera pas, tel est maintenant le credo qu'on nous sert, et dont on veut nous convaincre.
Sauf qu'il est plutôt vert de gris, gris sombre même, tout n'est que manipulation à tous vents, comme celui qui fait tourner à plein régime l'éolien industriel, celui des businessman de l’Éole, qui n'ont pas pour objectif de faire de l'éco-logie, mais de l'éco-nomie, nuance!
L'humain doit accepter quelques sacrifices au nom du "progrès"!
En fait quand on y regarde bien, les populations, nous, ne sommes plus que des acquéreurs potentiels de nouveaux produits et nouvelles technologies pour lesquel·le·s la nouveauté est le nouveau dogme de la nécessité prétendue.
Si vous n'avez pas encore ce qui va sortir demain vous êtes out!
Seulement ce rythme infernal conceptuel, transgresse une règle qui devrait être fondamentale, avant de mettre sur "le marché" une nouveauté. Ce qu'on nous a jadis présenté comme un système de défense face à l'appétit insatiable des "créateurs", le principe de précaution, resté au stade du principe, n'a jamais vraiment été appliqué, le consumérisme à une autre méthode, on produit, on vend, et après on ferme les yeux sur les conséquences.
Tabac, pesticides, amiante, nucléides, ondes, médications chimiques, micro-particules en tout genres, nano-éléments, exemples les plus marquants qui me viennent à l'esprit extraits d'une longue série que je n'essaierais pas de lister ici.
On nous les fait consommer et cette consommation cobaye fini par révéler à plus ou moins long terme ce que l'on n'a pas voulu prendre le temps et les moyens de chercher, l'évolution vaut bien quelques sacrifices fussent-ils mortels!