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L'avenir sera ce qu'on en fera !

Pour un avenir durable et partagé. Parce que je veux croire que l'humain et l'humanité qui en émane pourrait ne pas être un cancer pour la terre et un vampire pour ces congénères. Profondément humaniste, pacifiste, je n'entrevois qu'une solution d'avenir durable et pérenne, en finir avec la destruction systémique de notre écosystème nourricier qu'est la planète. Je prône l'égalité d'importance de toute vie, minérale, végétale, animale, humaine car toute vie est interdépendante des autres. Et rappelons nous, la seule énergie qui n'émet pas de GES est celle qu'on utilise pas ! Le superflue de nos consommations c'est de l'énergie vitale que nous volons à nos enfants et aux leurs !

L'eau bien commun entre la nature et l'homme ? Une question qui ne devrait pas se poser !

Publié le 4 Juillet 2013 par Daniel JAGLINE djexreveur

Je sais, encore oser affirmer qu'une trop grande concurrence entre l'humain et la nature ne devrait pas pouvoir exister à tout point de vue d'ailleurs, et en particulier pour l'eau, peut paraître d'une grande naïveté, cependant, dans le fond, si l'on veut bien se redonner un minimum de réflexion à ce sujet, il devrait être une certitude pour tous que si la nature est dorénavant sous la coupe de l'être humain, l'être humain est essentiellement et vitalement dépendant de la nature. Tout ce que nous lui portons comme coût se retourne inévitablement contre nous à plus ou moins long terme, qu'on ne s'y trompe pas, la nature nous est de loin supérieure, qui peut oser affirmer le contraire, est en réalité celui qui est vraiment naïf et aveugle.

Cette nécessité vitale d'eau pour la nature et pour l'humain, si elle peut être dans une certaine mesure concurrentielle, devrait voir l'humain garder conscience de sa dépendance envers cette nature qui lui a donné vie, et qui lui permet de la maintenir possible.

L'activité humaine qui entre le plus souvent en concurrence avec la nature, est l'agriculture, ce qui peut paraître bien naturel et indispensable, mais elle n'est pas la seule, et surtout, même si elle est inévitable ne devrait-elle pas être raisonné ?

De nombreux exemples, en ont déjà été l'illustration, je pense notamment, a cette demande faîte en France, surtout depuis l'année passée, suite à la baisse très importante du niveau des nappes phréatiques, de creuser un nombre croissant de réservoirs artificiels d'eau, qui seraient à l'usage exclusif des agriculteurs (et peut être accessible en cas de besoin aux pompiers en cas d'incendie, ce qui serait là la moindre des choses). Ne nous y trompons pas une telle main mise sur l'eau serait au détriment des besoins de la nature environnante, et des autres humains,

Voici un autre exemple d'actualité qui en dit long sur l'impact réel que peut avoir une utilisation accaparante et irraisonné de l'eau par les hommes au détriment d'une nature proche, qui lui est pourtant décisivement favorable. Dans cet environnement précis il faut bien avoir à l'esprit que les zones humides sont vitales aux écosystèmes entiers, et aux retenus d'eau accessible aux agriculteurs en particulier. Asséché une zone humide c'est en même temps réduire les capacités des nappes phréatiques à se renouveler et à recevoir des eaux préalablement naturellement filtrées, c'est diminuer de fait les réserves d'eaux nécessaires, si elles ne sont pas suffisantes en l'état, alors la question qui doit se poser est la suivante, ne sommes nous pas en train d'aller trop loin, n'en demandons pas trop par rapport à ce que la nature peut supporter ?

C'est bien cette situation là qui se généralise, cette surexploitation aveugle, qui est le problème fondamental de notre société marchande, qui court ainsi à sa perte.

Voyez donc ceci :

La fraise espagnole met en danger un site classé à l’Unesco

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