Suite à la catastrophe nucléaire de Fukushima, qui n'a pas fini de faire parler d'elle, tant la désinformation actuelle semble flagrante, et parce que ce n'est tout simplement pas fini, loin de là, contrairement à ce que les autorités Japonaises et Tepco affirment, des Stress Test on été institué, l'une des énormité dans l'erreur institutionnelle consiste dans le fait que nombres de sources de possibles cause d'accidents nucléaires ont été occultées.
Parmi elles, les erreurs humaines, ce point là à lui seul vaudrait sans doute des années d'expertises.
Combien d'accidents et catastrophes ont été imputés à des facteurs humains, méconnaissances, défaillances, erreurs, liste non exhaustive de la façon dont on peut qualifier les actions manquées de l'être humain, au point que personnellement, j'en suis arrivé à une forme de suspicion dubitative, en effet rares sont les cas ou l'on remet véritablement les techniques, les matériaux, les infrastructures, les défaillances mécaniques en cause, comme s'il fallait toujours trouver, prouver qu'un facteur humain, que l'on peut facilement accuser de vulnérabilité, avait eu une incidence imparable, pour que l'opinion publique, ne perde pas confiance en la "technique", en la fiabilité des constructions humaines, sauf que dans le cas du nucléaire, pfffftt point d'erreur humaine prise en compte, bizarre, j'ai dis bizarre !
Les attaques terroristes, ou les accidents d'avions, ainsi que les très hypothétiques chutes d'objets divers tombant du ciel, n'ont pas non plus retenu l'attention des causes possibles à envisager, reconnaissez, que bien fort peu probables, vaudrait tout de même qu'on les envisagent avec sérieux.
Cette attitude est-elle vraiment remise en cause, c'est en tout cas ce qu'on peut espérer, à la lecture de cet article :
http://www.actu-environnement.com/ae/news/sommet-securite-nucleaire-surete-aiea-15314.php4#xtor=ES-6
Extraits :
A l'occasion du sommet sud-coréen sur la sécurité nucléaire qui s'est terminé, mardi 27 mars, les dirigeants de 53 pays ont adopté une déclaration rappellant que le risque représenté par le terrorisme nucléaire est considéré comme "l'une des menaces les plus inquiétantes sur la sécurité internationale". (...) La Commission souhaitait inclure les risques humains, et notamment les actes de terrorisme ou de malveillance (sécurité nucléaire) alors que les autorités de sûreté des Etats membres plaidaient pour des tests limités aux risques naturels, tels que les séismes, les inondations ou les tempêtes (sûreté).