Ce qui m'a amené à cet article, tient dans le titre d'un article écrit par "Hervé Nifenecker", président d'honneur de "Sauvons Le Climat", qu'il a créé en 2004.
Qui est-il :
http://energie.lexpansion.com/auteurs/Herve-Nifenecker-a-234_s_17bf7c176f935485ff45ed858cdf9cef.html
http://www.agoravox.fr/auteur/herve-nifenecker
Pour être honnête avec vous je ne connais pas "Sauvons le climat", peut-être en reparlerais-je plus tard, mais là n'est pas le sujet aujourd'hui.
Comme vous allez pouvoir le constater rapidement il est pro-nucléaire, émet des réflexions, soulèvent des questionnement qui méritent qu'on s'y intéresse, voici par exemple deux sujet sur lesquels il argumente, sur son site qui peuvent nous amener à pousser nos reflexions personnelles :
Une comparaison entre les parties radioactives que contiennent les cendres des nuages d'éruption volcaniques, et la radioactivité naturelle, ainsi que celle répandu lors de la catastrophe nucléaire qu'à été "Tchernobyl"
Une réflexion sur les déchets nucléaire :
L'article dont je vous parle concrètement aujourd'hui, porte pour titre "le nucléaire émet moins de CO2 que le solaire et l'éolien", j'ai voulu savoir quel était l'argumentaire :
Extrait :
En elle-même, la
réaction de fission nucléaire ne produit pas de CO2.
Mais, dans un calcul des émissions sur le cycle de vie, il faut aussi inclure les émissions de CO2 au cours des opérations minières, d'enrichissement,
de construction, de retraitement des combustibles usés et de stockage.
Faisons une estimation approximative de ces contributions et comparons les résultats à ceux des énergies renouvelables."
La première réflexion que je me suis fait, tient dans l'oubli encore une fois essentiel dans cette approche, des coûts inestimables présent et à venir de la gestion des déchets, quand bien même ceux ci représenteraient de moindres quantités, en supposant comme valide, la possibilité de les réduire, en améliorant les capacités des futures centrales, ce qui à ce jour, n'est pas encore vraiment garantie, mais admettons !.
Même s'ils sont en faible quantité, ces déchets, seront d'une extrême dangerosité, et devront être gérés sur du très très très long terme.
J'ai pris depuis peu l'attitude de m'intéresser davantage aux commentaires, qui peuvent être fait suites aux divers articles que je lis, ayant pris conscience, que, si souvent une grande majorité apportent peu car ce ne sont que des avis personnels émis avec souvent peu de connaissances approfondis des sujets traités, parfois certains commentateurs sont beaucoup plus au fait et apportent des arguments étayés et des références plus solides.
Parmi les commentaires suivant cet article, je me suis donc intéresser, plus particulièrement à l'un d'eux, (si vous voulez le lire, il s'agit du commentaire :
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Commentaire par vincent - jeudi 13 janvier 2011 15:44 |
qui m'a amené aux site suivant, qui est le site de l'institut "Paul Scherrer Institut, PSI", dont le nom est cité pour argumenter le commentaire :
http://www.psi.ch/info/le-point-sur-lenergie
Qui était Paul Scherrer :
http://www.psi.ch/qui-etait-paul-scherrer
Nous avons donc affaire là encore à un pro-nucléaire, mais ceci ne veux pas dire que tout est à jeter pour autant, je vous invite donc à consulter le document "pdf" qui suit, car il me semble bien fait, et permet de porter un regard sur le coût des énergies, et aussi pour savoir de quoi on parle !.
http://www.psi.ch/info/MediaBoard/Energiespiegel_Nr20_07_2010__f.pdf
Extrait :
"Un approvisionnement énergétique optimal pour tous − bon marché, écologique, sûr et disponible en permanence − n’est pas possible. ni aujourd’hui, ni demain. En fonction des préférences personnelles, la comparaison des technologies selon la durabilité apporte un classement différent. il est toutefois important que les indicateurs et leurs poids individuels soient compréhensibles: c’est la seule façon pour que les connaissances ainsi acquises servent dans la prise de décision du débat politique énergétique."
Le mot d'ordre, qui me semble donc être celui auquel nous allons devoir très sérieusement nous confronter, est donc bien de réduire nos besoins énergétiques, de la même manière qu'il va falloir réduire nos déchets de tout ordres.