Overblog
Editer l'article Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
L'avenir sera ce qu'on en fera !

Pour un avenir durable et partagé. Parce que je veux croire que l'humain et l'humanité qui en émane pourrait ne pas être un cancer pour la terre et un vampire pour ces congénères. Profondément humaniste, pacifiste, je n'entrevois qu'une solution d'avenir durable et pérenne, en finir avec la destruction systémique de notre écosystème nourricier qu'est la planète. Je prône l'égalité d'importance de toute vie, minérale, végétale, animale, humaine car toute vie est interdépendante des autres. Et rappelons nous, la seule énergie qui n'émet pas de GES est celle qu'on utilise pas ! Le superflue de nos consommations c'est de l'énergie vitale que nous volons à nos enfants et aux leurs !

Environnement et développement sont-ils comptatibles, le PNUE dit oui !

Publié le 23 Février 2011 par Daniel JAGLINE djexreveur in Questionnement Fondamental

Cela s'appelerait, enfin disont est déjà baptisé "économie verte".

Je n'ai rien contre le développement, j'en bénéficie tous les jours, si ce n'est qu'il n'a prouvé qu'une chose, c'est qu'il entraine un phénomène de "pillage", généralisé, tout azimut, tant en ce qui concerne les diverses ressources, qu'en ce qui concerne les êtres vivants, pour le reste la pauvreté est grandissante, la famine a à peine reculé, les pollutions sont légions, la biodiversité se réduit exponentiellement et les frontières et les clivages se cedenassent de plus en plus, dans tous les sens du terme, tant physiques que philosophiques.

Est-ce bien cela qu'on attend du développement, ou n'y a-t'il pas là comme une profonde injustice ?

Sommes nous plus heureux, dans les pays dit "développés", sommes nous plus humains, sommes nous plus libre, et là je ne parle pas de la liberté d'acheter le dernier "crossover", celui là qui fera pâlir d'envie le voisin d'en face, qui lui même exhibe son 4x4 rutilant qu'il a bien de la peine à garer sur son étroit trottoir (bon je sais c'est trop facile, mais ça fait du bien !).

Le PNUE "Programme des Nations Unies pour l'Environnement", a une vision que je redoute, j'ai d'ailleurs été interloqué, par leur propre présentation sur leur site :

a look 

http://www.unep.org/french/

l'environnement au service du développement

 Moi c'est le développemnt que je veux au service de l'environnement, et la nuance est de taille !

Voici donc la vision du PNUE :

http://www.actu-environnement.com/ae/news/rapport-pnue-economie-verte-11990.php4#xtor=ES-6

Extrait :

Ce 21 février à Nairobi (Kenya), le Programme des Nations unies pour l'environnement (PNUE) présente un nouveau rapport démontrant que l'économie verte prolonge le développement durable en rétablissant l'équilibre entre ses trois piliers (économique, social, environnemental). Le PNUE définit l'économie verte comme une économie qui entraîne une amélioration du bien-être humain et de l'équité sociale, tout en réduisant les risques environnementaux et la pénurie des ressources.

Pour Sylvie Lemmet, directrice de la direction technologie, industrie et économie du PNUE, "comme la croissance repose sur les ressources naturelles, il n'y aura pas de croissance si l'économie n'est pas verte". Concrètement, une économie verte est une économie dont les revenus et les emplois sont créés par des investissements qui réduisent les émissions de CO2 et la pollution, améliorent le rendement des ressources, et empêchent la perte de la biodiversité et des services écosystémiques. Les créations d'emplois seront nombreuses, 20% de plus que par rapport au maintien du statu quo d'ici à 2050.

Le concept d'économie verte a pris son essor dans le contexte de la crise financière, autour de l'Initiative pour une économie verte, lancée par les Nations unies en 2008 (news 6080). Sur la base de plusieurs études, le PNUE a calculé que la demande de financement annuelle pour le verdissement de l'économie mondiale se situait aux alentours de 1,05 à 2,59 mille milliards de dollars, soit moins d'un dixième du total de l'investissement mondial annuel. Ce scénario vert serait donc possible par l'allocation de l'équivalent de 2% du PIB (1.300 milliards de dollars par an) investis dans le verdissement de dix secteurs clés entre 2010 et 2050.

  


 


Commenter cet article