La lutte contre la déforestation est l'un des enjeux majeur des prochaines années, même si tous les acteurs s'unissaient vraiment pour prendre les décisions qui s'imposent, en concertation, et en conjuguant leurs efforts, il faudrait probablement plusieurs décennies pour inverser la perte de surfaces de forêt, et encore en considérant, que ce que l'on replante, ne soit pas que des palmiers ou d'autres variétés, qui n'ont rien à voir, avec une vrai forêt, avec la forêt originale !, celle dont la terre a besoin pour maintenir certains équilibres climatiques, pour ne parler que de ceux là !.
Seulement voilà, on en est pas là du tout, les, non disons "certains industriels", sont prêt à tout pour continuer leur funeste "buiseness", prêt à toutes les manipulations pour garder leurs sources de profits, le combat n'est pas égal, lorsque l'on fait face à des adversaires prêt à toutes les tricheries, à toutes les tromperies pour arriver à leurs fin.
La seules chose durable pour eux, c'est leur avidité, leur soif de gains, peu importe les dégâts causés, rien ne doit entraver leur cupide non gestion des ressources, c'est même effarant, car ils détruisent en fait eux mêmes leur matière première, aveuglés qu'ils sont par le court terme, ils n'envisagent même pas qu'à long termes, ils détruisent leur manne, ils tarissent la source.
"JAKARTA (AFP) - Greenpeace a affirmé mardi que l'ambitieux programme de lutte contre la déforestation lancé par l'Indonésie avec le soutien financier de la Norvège était menacé d'être "pris en otage" par les producteurs d'huile de palme et de bois..............................Les industriels, avec le soutien de fonctionnaires, entendent pour cela utiliser les "définitions ambiguës" qui permettent de classer des forêts en terres "dégradées" et de les "réhabiliter" en y plantant des palmiers à huile ou des acacias, explique Greenpeace.
Les principes du mécanisme de financement REDD (réduction des émissions liées à la déforestation), dont de nombreux projets sont développés en Indonésie, seront ainsi dévoyés, a regretté l'organisation.
Le risque existe de voir les fonds REDD, "qui sont destinés à soutenir la protection des forêts, être en fait utilisés pour favoriser leur destruction", selon elle."