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L'avenir sera ce qu'on en fera !

Pour un avenir durable et partagé. Parce que je veux croire que l'humain et l'humanité qui en émane pourrait ne pas être un cancer pour la terre et un vampire pour ces congénères. Profondément humaniste, pacifiste, je n'entrevois qu'une solution d'avenir durable et pérenne, en finir avec la destruction systémique de notre écosystème nourricier qu'est la planète. Je prône l'égalité d'importance de toute vie, minérale, végétale, animale, humaine car toute vie est interdépendante des autres. Et rappelons nous, la seule énergie qui n'émet pas de GES est celle qu'on utilise pas ! Le superflue de nos consommations c'est de l'énergie vitale que nous volons à nos enfants et aux leurs !

Décidément l'industrie pétrolière est prête à tous les massacres écologiques.

Publié le 13 Février 2013 par Daniel JAGLINE djexreveur in Biodiversité

Des forêts amazoniennes au grand nord, il n'est pas un territoire assez important environnementalement, que l'industrie pétrolière laisserait de côté afin d'en préserver l'équilibre, et la pureté qui lui reste encore, non rien ne l'arrête dans sa soif de forages, dans son avidité d'hydrocarbures, à quand le jour où elle rasera des villes pour accéder aux sous-sol de celles-ci ?

a look

http://www.goodplanet.info/Contenu/Depeche/Ca-sent-le-gaz-pour-le-joyau-de-la-biodiversite-peruvienne?utm_source=feedburner&utm_medium=email&utm_campaign=Feed%3A+Goodplanetinfo+%28Les+D%C3%A9p%C3%AAches+GoodPlanet.info+%29

Extrait :

Des documents dévoilés par le quotidien anglais Guardian laissent à penser que la firme Pluspetrol envisage de demander une concession gazière dans le parc national de Manú au Pérou. Cette concession concernerait soit le parc soit ses alentours immédiats, or cette région de l’Amazonie péruvienne, au pied des Andes, est réputée pour être l’une des plus riches réserves de biodiversité au monde. Pluspetrol a fait appel à un cabinet de conseil afin d’obtenir la concession gazière, selon les documents de travail qui ont fuité, rapporte le Guardian le 11 février. L’anthropologue Glenn Shepard estime que « cela confirme nos craintes, en tant qu’écologistes et défenseurs des droits des peuples indigènes, concernant la présence de réserves gazières et pétrolière dans le sous-sol du parc national de Manú. Ce que les les firmes pétrochimiques et les autorités péruviennes ont toujours nié.


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