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L'avenir sera ce qu'on en fera !

Pour un avenir durable et partagé. Parce que je veux croire que l'humain et l'humanité qui en émane pourrait ne pas être un cancer pour la terre et un vampire pour ces congénères. Profondément humaniste, pacifiste, je n'entrevois qu'une solution d'avenir durable et pérenne, en finir avec la destruction systémique de notre écosystème nourricier qu'est la planète. Je prône l'égalité d'importance de toute vie, minérale, végétale, animale, humaine car toute vie est interdépendante des autres. Et rappelons nous, la seule énergie qui n'émet pas de GES est celle qu'on utilise pas ! Le superflue de nos consommations c'est de l'énergie vitale que nous volons à nos enfants et aux leurs !

D'une catastrophe nucléaire, évaluerait-on et retiendrait-on le coût écologique ?

Publié le 2 Avril 2013 par Daniel JAGLINE djexreveur in Nucléaire

Les préjudices écologiques ne sont pour le moment encore jamais, ni évalués vraiment, ni par conséquent restaurés. Cette situation invraisemblable va-t-elle enfin voir ce temps révolu de l'inconséquence humaine face aux dégats écologiques et environnementaux qu'elle génère ?

On peut espérer un premier pas car une réflexion est en cours, gageons que ces conclusions n'irons jamais aussi loin que ce que j'en espère, mais si déjà une vrai reconnaissance juridique voyait le jour, ce serait une avancée majeur.

Je ne vais pas préjuger des résultats, et attendre ce qu'il en sortira, on verra en attendant si on peut exercer la moindre influence :

http://www.actu-environnement.com/ae/news/reparation-prejudice-ecologique-reflexion-groupe-travail-18164.php4#xtor=ES-6

Extrait :

La ministre de la Justice, Christiane Taubira, l'a confirmé : un groupe de travail a été créé pour réfléchir à l'intégration du préjudice écologique dans le code civil. Présidé par Yves Jegouzo, professeur émérite de droit public à l'Université Paris I Panthéon-Sorbonne et ancien conseiller d'Etat en service extraordinaire, le groupe de travail doit rendre un rapport en septembre. Selon la ministre, il rassemble d'éminents professeurs, des magistrats et des avocats ayant une grande expertise du sujet.

Leur mission est "d'éclaircir tous les champs de la responsabilité en matière environnementale", indique la ministre. Elle souhaite ensuite lancer une large concertation à laquelle seront associés tous les représentants de la société civile, au premier rang desquels les associations de protection de l'environnement, mais aussi les acteurs de la vie économique.

En partant de l'hypothèse que cette réflexion amène à vraiment légiférer dans le sens d'une restauration ne serait-ce que partielle, et incomplète, et en rapport avec une annonce récente, une question s'est imposée à mon esprit quand serait-il si 'catastrophe nucléaire' ?

De quelle échelle de coût serait-il question s'il fallait ajouter à l'addition déjà annoncée, et probablement déjà non exhaustive, la restauration d'une terre irradiée ?

Je n'ose imaginer !

Pour rappel :

http://www.actu-environnement.com/ae/news/polemique-cout-accident-nucleaire-majeur-opesct-irsn-evaluations-2007-2012-18165.php4#xtor=ES-6

Extrait :

En février, l'IRSN rendait publique une étude réalisée en 2011 et évaluant à quelque 430 milliards d'euros, soit environ 20% du PIB français, le coût médian d'un accident nucléaire majeur sur le territoire français.

Le 10 mars, le Journal du Dimanche publiait un article faisant état d'une étude réalisée par l'IRSN en 2007 et évaluant "jusqu'à 5.800 milliards", soit trois années de PIB, le coût de ce même accident. Ce scénario se basait sur une catastrophe qui interviendrait à la centrale de Dampierre. Un scénario moins noir entraînerait un coût de 760 milliards d'euros.

Vive l'électricité moins chère !

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