Pour sauver le corail d'Australie et d'ailleurs, il va falloir faire barrière aux pollutions.

Ce sont des destinations de rêve qui attirent pour leurs attraits naturels splendides et grandioses, mais ce succès se transforme en cauchemar pour la beauté, l'intégrité et la spécificité même de ces lieux.

Le tourisme n'est bien sûr pas "le" problème majeur, encore que pour certains sites c'est une vrai menace, il participe directement à certaines dégradations et à une dégradation certaine. Les transports génèrent notamment le plus grand fléau pour l'environnement général, mais ils ne sont pas les seuls désastres, et certains touchent plus directement des zones plus localisés.

Parmi les splendeurs mondiales inscrite au patrimoine de l'humanité, l'une se détache par sa taille et par sa réputation, la grande barrière de corail d'Australie, cela rend encore plus visible les atteintes dont elle est la victime.

Si il y en a pour affirmer que les menaces ne seront pas fatales à long terme à ce joyau, cet avis est loin de faire l'unanimité, le réchauffement climatique à lui seul est une calamité, mais ce n'est pas la seule catastrophe qui s'attaque à cette merveille.

Les pollutions chimiques, se mêlent à la panoplie des atteintes graves à l'ensemble des océans, si graves que le gouvernement lui même en vient à reconnaître que des efforts plus important encore doivent être consentis, et pour que le ministre de l'environnement de ce pays en vienne à admettre cela, c'est déjà en soi comme une victoire !