Si je ne m'étais pas encore fait de l'Etat un ennemi, ce sera sans doute rectifié à la suite de ce billet !
Je n'en peux plus, de constater à quel point certains jugements rendus ces derniers temps, sont iniques, immérités et partiaux, en un mot injustes.
S'il fallait que je dresse la liste des exemples qui provoquent mon courroux, ce billet serait une très longue litanie, je prends donc le parti de ne dresser qu'un tableau global, qui j'en suis persuadé suffira largement à celles et ceux qui comme moi ont choisi de ne plus se laisser aveugler par la dictature de la pensée unique étatique, par le dictat du système dominateur, la tyrannie des institutions maintenant assujetties aux puissants. Pour les autres celles et ceux qui ne comprennent pas ce qui me met dans un tel état, je dirais simplement ceci, ouvrez les yeux, informez vous, cherchez !
Au delà des exemples précis que je pourrais mettre en avant, et qui pour un bon nombre d'entres-eux sont tellement révélateurs, qu'à eux seuls certains cas devraient déjà faire se lever les foules pour réclamer la destitution de certains juges, c'est bien la situation générale que je veux évoquer, questionner, et accuser.
Entre les hommes politiques convaincus de détournements de fonds publics ou privés, promoteurs et favorisant des ventes d'armes qui servent ensuite à exterminer des populations civiles en divers points de la planète, les riches évadés fiscaux, contournant avec l'aide de juristes grassement payés des règles élémentaires de justice sociale et fiscale, des groupes industriels, de l'automobile, de l'armement, de la chimie, du bâtiment, du nucléaire, de la santé, etc qui dérogent aux règles les plus élémentaires de non mise en danger de la santé et de la vie d'autrui, et les citoyens lambda il n'y a plus une justice, mais deux. L'une qui ferme les yeux ou excuse, déclare responsable mais non coupable, ou encore pire coupable mais non puni, et l'autre qui s'acharne, fait l'exemple, qui va même bientôt condamner par anticipation au rythme où l'on va !
Le cas précis celui qui vient de faire déborder le vase de mon indignation, est celui de ce jeune qui vient d'être condamné, le relais de cette affaire à été évidemment posté sur FB, et c'est là qu'en commentaire à chaud j'ai posté ceci :
Je ne l'ai pas encore exprimé aussi clairement, j'y ai certes fait déjà allusion, mais il va falloir vraiment qu'on ajoute une liste à nos ennemis, on a déjà bien identifié les banquiers et autres sous fifres de la finance, qui veulent nous voler, ont a bien identifié les industriels et autres accapareurs de profits qui veulent nous exclavagiser, les politiques et autres bonimenteurs aux ordres des précédents cités, qui veulent nous mystifier, ont a pas encore bien pris conscience que le système judiciaire à choisi son camp, et ce n'est pas celui des populations, il n'y a plus de justice indépendante en France, elle est maintenant tout aussi soumise à l'ordre établie que les autres acteurs qui n'ont plus que la domination et l'autoritarisme en point de mire, nous ne somme plus dans un pays libre, nous ne sommes plus dans un pays juste, nous ne sommes plus dans un pays égalitaire, nous ne sommes plus dans un pays fraternel, combien de temps encore allons nous laisser la situation se dégrader à ce point ? Que va-t-il donc falloir pour que les citoyens, s'insurgent enfin !
Je me suis dis alors que cela ne suffisait pas, non pas que ce cas particulier soit plus injuste que de nombreux autres, mais qu'il venait s'ajouter à cette liste déjà insupportable d'exécrables révélations d'une justice à deux versant, et que donc je ne pouvais pas m'en tenir qu'à ça, que pour commencer à rendre justice à tous ces jeunes et moins jeunes qui ont déjà été, sont et vont-être condamnés, je devais faire plus, CRIER ENCORE PLUS FORT MA COLÈRE.
Cela ne changera rien bien sûr, cela ne m’apaisera même pas tant l'indignation qui m'habite maintenant est profonde, et ne pourra commencer à se cicatriser que lorsque ce système judiciaire retrouvera une véritable indépendance, qu'il a désormais totalement perdu.
Pour cela il faudra tout remettre en cause au préalable, en commençant par la forme d'exercice de la démocratie, dont l'usage actuelle est une falsification.