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L'avenir sera ce qu'on en fera !

Pour un avenir durable et partagé. Parce que je veux croire que l'humain et l'humanité qui en émane pourrait ne pas être un cancer pour la terre et un vampire pour ces congénères. Profondément humaniste, pacifiste, je n'entrevois qu'une solution d'avenir durable et pérenne, en finir avec la destruction systémique de notre écosystème nourricier qu'est la planète. Je prône l'égalité d'importance de toute vie, minérale, végétale, animale, humaine car toute vie est interdépendante des autres. Et rappelons nous, la seule énergie qui n'émet pas de GES est celle qu'on utilise pas ! Le superflue de nos consommations c'est de l'énergie vitale que nous volons à nos enfants et aux leurs !

Les impacts environnementaux des industries minières, remontent un jour à la surface !

Publié le 26 Février 2011 par Daniel JAGLINE djexreveur in Pollution

Là c'était de l'or que l'on exploitait, ailleurs ce peut être autre chose, des minerais rares, ou que sais-je moi, du pétrole, ou du gaz, conventionel ou pas !

http://www.goodplanet.info/Contenu/Depeche/Bombe-aquatique-a-retardement-sous-Johannesburg?utm_source=feedburner&utm_medium=email&utm_campaign=Feed%253A+Goodplanetinfo+%2528Les+D%25C3%25A9p%25C3%25AAches+GoodPlanet.info+%2529

Extrait :

La pollution des eaux provenant d’anciennes mines menace laville de Johannesburg en Afrique du Sud. Pour prévenir cette pollution, les autorités de la ville prévoient de mettre en place un réseau de pompes et de stations de traitements des eaux, « si les pompes ne sont pas mises en service avant mars 2012, nous atteindrons les seuils critiques de pollution », affirme Henk Coetzee, un des experts mandaté par la ville pour étudier la question, cité l’agence Reuters le 22 février. La ville de Johannesburg s’est construite au-dessus de mines d’or, aujourd’hui abandonnées, mais les dépôts d’eau et de produits chimiques employés une centaine d'année plus tôt pour l’extraction réagissent avec la roche et produisent des substances toxiques comme de l’acide sulfurique, des métaux lourds, des toxines et des radiations. Les liquides toxiques sont actuellement entre 700 et 500 mètres de profondeur sous la ville, ils remontent vers la surface au rythme de 15 mètres par mois, lit-on sur le site sud-africain d’informations Independent Online.

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