Pour beaucoup les paradis sont inaccessibles comme perdues, mais pas pour tout le monde, ceux qui perdent sont ceux qui n'y accèdent pas bien sûr, une évidence certes logique, mais si injuste, et si encore ces paradis là ne portaient pas l'augure d'enfer pour les laissés pour compte...bancaire insuffisant, et ne spolient pas les autres de dividendes qui devraient être mieux divisés, qui devraient surtout ne pas être escamotés de la sorte, pour être soustrait au bien collectif et à la communauté.
Ils ne sont pas forcément aussi lointain qu'on pourrait l'imaginer, et ils ne sont pas si simple à caractériser, tout comme est indéfinissable la notion de paradis, on les dit fiscaux mais ils ne sont pas que ça, comme si cela ne suffisait pas pour nous voiler l'enfer qu'ils sont en réalité.
Ils fallait bien s'y mettre à plusieurs pour essayer de percer les mystères, un trio tributaire des infos nouvelles enfin accessible depuis 2013, depuis qu'une loi oblige dorénavant les banques françaises à rendre publique les informations essentielles sur leurs activités et sur les impôts qu'elles paient dans tous les pays où elles sont implantées, et quand on fait le rapport c'est 1/3 de leurs bénéfices dont on ne bénéficie pas !
Après les spéculations, pour certains vient l'heure de l'accaparement, pour d'autres celle du partage, après les suppositions vient l'heure pour certain de se découvrir pour d'autres de découvrir ce qui n'était jusque là que conjecture.
Je sais pas vous, mais moi je dis STOP.
Restituez nous ce qui nous revient de droit.