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L'avenir sera ce qu'on en fera !

Pour un avenir durable et partagé. Parce que je veux croire que l'humain et l'humanité qui en émane pourrait ne pas être un cancer pour la terre et un vampire pour ces congénères. Profondément humaniste, pacifiste, je n'entrevois qu'une solution d'avenir durable et pérenne, en finir avec la destruction systémique de notre écosystème nourricier qu'est la planète. Je prône l'égalité d'importance de toute vie, minérale, végétale, animale, humaine car toute vie est interdépendante des autres. Et rappelons nous, la seule énergie qui n'émet pas de GES est celle qu'on utilise pas ! Le superflue de nos consommations c'est de l'énergie vitale que nous volons à nos enfants et aux leurs !

L'enfer des uns dépend-t-il des paradis des autres, fiscaux et judiciaires, ces hâvres financiers pour flibustiers monétaires.

Publié le 19 Mars 2016 par Daniel JAGLINE djexreveur in économie, finance, Information générale, intérêt général, Questionnement Fondamental, richesse, transition sociétale

Pour beaucoup les paradis sont inaccessibles comme perdues, mais pas pour tout le monde, ceux qui perdent sont ceux qui n'y accèdent pas bien sûr, une évidence certes logique, mais si injuste, et si encore ces paradis là ne portaient pas l'augure d'enfer pour les laissés pour compte...bancaire insuffisant, et ne spolient pas les autres de dividendes qui devraient être mieux divisés, qui devraient surtout ne pas être escamotés de la sorte, pour être soustrait au bien collectif et à la communauté.

Ils ne sont pas forcément aussi lointain qu'on pourrait l'imaginer, et ils ne sont pas si simple à caractériser, tout comme est indéfinissable la notion de paradis, on les dit fiscaux mais ils ne sont pas que ça, comme si cela ne suffisait pas pour nous voiler l'enfer qu'ils sont en réalité.

Ils fallait bien s'y mettre à plusieurs pour essayer de percer les mystères, un trio tributaire des infos nouvelles enfin accessible depuis 2013, depuis qu'une loi oblige dorénavant les banques françaises à rendre publique les informations essentielles sur leurs activités et sur les impôts qu'elles paient dans tous les pays où elles sont implantées, et quand on fait le rapport c'est 1/3 de leurs bénéfices dont on ne bénéficie pas !

Après les spéculations, pour certains vient l'heure de l'accaparement, pour d'autres celle du partage, après les suppositions vient l'heure pour certain de se découvrir pour d'autres de découvrir ce qui n'était jusque là que conjecture.

L'enfer des uns dépend-t-il des paradis des autres, fiscaux et judiciaires, ces hâvres financiers pour flibustiers monétaires.

Je sais pas vous, mais moi je dis STOP.

Restituez nous ce qui nous revient de droit.

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