Cette affirmation n'est le fait de "bobo" environnementaliste et fleurs bleues, ni celui d'anarchistes de l'écologie, pas plus que celle de réfractaires au progrès aux idées rétrogrades, ni mêmes celle de "propagandistes" du réchauffement climatique, non cette affirmation nous viens du "programmes des Nations Unies pour l'environnment" (PNUE).
Son cinquième rapport vient de sortir, il est sans ambiguité, sans un changement radical de cap, des points de non retours risquent d'être atteint.
Les conséquences ne sont évidemment pas toutes envisageables, il s'agirait plutôt d'une avancée dans l'inconnu tant les équilibres vont changer, ce qui est craint est redoutable, notamment pour certains pays déjà miséreux et aux conditions de vie extrêmes, pour certains elles deviennent déjà et deviendrons pour d'autres impossibles.
Nous devons repenser notre mode de vie, reconscientiser notre orientation du "progrès", revivifier notre interdépendance d'avec la nature, plutôt que chercher à s'en extraire, tout un programme !