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L'avenir sera ce qu'on en fera !

Pour un avenir durable et partagé. Parce que je veux croire que l'humain et l'humanité qui en émane pourrait ne pas être un cancer pour la terre et un vampire pour ces congénères. Profondément humaniste, pacifiste, je n'entrevois qu'une solution d'avenir durable et pérenne, en finir avec la destruction systémique de notre écosystème nourricier qu'est la planète. Je prône l'égalité d'importance de toute vie, minérale, végétale, animale, humaine car toute vie est interdépendante des autres. Et rappelons nous, la seule énergie qui n'émet pas de GES est celle qu'on utilise pas ! Le superflue de nos consommations c'est de l'énergie vitale que nous volons à nos enfants et aux leurs !

Pourtant consensuelle la préservation et restauration de la biodiversité manque d'engagement.

Publié le 27 Octobre 2015 par Daniel JAGLINE djexreveur

Et pourtant tout le monde est d'accord, il n'est pas possible de ne pas tenter d'enrayer le déclin des écosystèmes, la perte de biodiversité, ce constat de sixième extinction patent , à l'instar de celui fait sur le réchauffement planétaire dont le dénominateur commun réside dans les activités humaines, est on ne peut plus consensuel.

L'humain qui se croit invincible et maître de son destin n'est qu'un des maillons d'une chaîne de vie, dont il est interdépendant, sa capacité de survie dépend des conditions environnementales, et de son adaptation possible au milieu dans lequel il évolue, si ce milieu se dégrade trop vite, ce qui est actuellement en branle, pas plus lui que les autres mammifères ne sont en possibilité de s'acclimater, pas le temps, cela va trop vite.

Malgré cela, en espérant qu'il soit encore possible, sinon d'inverser cette tendance mortifère, au moins de la ralentir suffisamment, pour se donner le temps de remettre en cause vraiment notre rapport avec la nature, la terre, notre vaisseau, se donner du temps pour reconsidérer notre approche de la nature humaine et de son influence sur son environnement, à la fois proche et lointaine, tant dans l'espace que dans le temps, les actions ne suivent pas les engagements pris. C'est avec beaucoup d'amertume, que je dois me résoudre à un constat affligeant et déplorable, mon pays celui qui m'a vue naître, duquel s'encre mes racines, mes attaches, que j'apprécie dans certains de ces particularismes, me désole, et m'exaspère dans de plus en plus nombreux domaines, Quand je fais le bilan de son action dans un nombre considérable de problématiques liées à tout ce qui touche aux plus fondamentales exigences d'humanisme, d'écologisme, d'égalitarisme, tout ce qui serait le fondement d'un monde apaisé, durable, ouvert, je ne peux qu'observer pour le moins un retard inexcusable sur beaucoup d'autres pays, et plus souvent encore d'incompatibles orientations essentielles tournant le dos à ce qui peut sauver l'humanité, la préparer aux changements radicaux que va nécessiter la métamorphose primordiale qui va devoir s'amorcer pour espérer enrayer le déclin général, et la survie de l'humain sur terre.

C'est bien la survie des humains, de l'humanité dans sa totalité, qui est en jeu, on peut toujours rêver qu'une minorité en réchappe, quelques survivants, une poignée de rescapés, mais rien n'est moins sûr, et quand bien même !

Sans avoir aucune certitude qu'il en soit encore temps, mais ne faut-il pas pour autant se jeter dans ce combat de la survie de l'humain sur cette terre, certain dont je fais partie parfois, se demande si finalement la disparition de ce prédateur qu'est l'homme ne serait pas la seule solution, mais cela c'est quand ma colère dépasse l'espoir faiblissant, mais pourtant encore là que l'action de certains humains démontre comment il est aussi capable du meilleur.

les solutions existent, la première et la plus fondamentale, se trouve dans le cœur et dans l'esprit de l'homme, dans le choix qu'il peut encore faire de recentrer ses objectifs, ses envies, ses espoirs vers l'autre et non plus seulement sur lui même, restaurer sa nature profonde, consciente que seule la coopération et le partage sont essentiels pour vivre, restreindre ses consommations effrénées, symboliques d'un manque de contentement et de bien-être intérieur.

La nature humaine n'a-t'elle d'autre aspiration ou finalité que son statut de consommateur, enchaîné dans une course au toujours plus, c'est ce que la société de consommation qu'ont érigés en hypothèse dominante une minorité de marchands dont l'objectif réel n'est autre que leur propre profit, et leur domination, mais est-ce bien de ce monde là que nous voulons ?

Il est de toute façon incompatible avec la survie !

Alors nous avons un choix à faire, consommer, consumer tout jusqu'à la lie, jusqu'au dernier souffle, retranché derrière l'un de ces adages qui me révulse, après nous le déluge, mais à ce rythme là le déluge pourrait bien nous ensevelir.

Il est le premier à détruire ce qui permet sa propre vie !

Il est le premier à détruire ce qui permet sa propre vie !

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