Guerres et conflits en tout genres sont semble-t-il inévitables encore tant que l'humain n'aura pas appris à respecter les différences, à accepter la liberté de l'autre de ne pas être à son image, à accorder à l'autre cette possibilité d'être soit, sans avoir à s'en défendre d'aucun, qu'on proclame pour nous même.
Misère et pauvreté sont semble-t-il vouées à perdurer tant que l'humain n'aura pas appris que ce sort aurait pu et sera peut-être le sien dans d'autres ages et circonstances qu'il ne peut choisir et maîtriser, à se perpétuer tant que nous n'accorderons pas à autrui le droit fondamental de recevoir en partage le minimum vital auquel tout individu peut prétendre, sur une planète où les ressources sont accaparés par une minorité jouissant de conditions de vies déjà envié par le reste de l'humanité, à s'élargir tant les conditions vitales vont se réduire sur certains territoires, les habitants des îles pacifiques en sont déjà témoin et victime maintenant, tant la surexploitation des matières premières de toute nature conduit irrémédiablement à un épuisement fatal et annoncé.
Est-ce une fatalité ?
Je ne peux m'y résoudre, et je ne veux en aucune manière en accepter l'hypothèse.
Ne laissons plus mourir les migrants à nos frontières
Apprenons le partage, apprenons la collaboration, la considération, la coopération, sommes nous aveugle à ce point que nous voyons pas que nous, nos enfants et les leurs vont impérieusement avoir besoins des autres aussi, et ces autres ce sont potentiellement ceux qui frappent à nos portes aujourd'hui.