L'humain croit pouvoir être maître de tout, il considère trop souvent ses découvertes ou ses inventions comme nécessairement applicables, et supérieur à la nature, dans bien des domaines, il ne prend pas le temps de s'assurer, que ce qu'il met en action, n'entraînera pas à long terme d'effets indésirables, voire néfaste, voire funeste.
À peine à-t'il fait une découverte, qu'il veut en profiter et l'utiliser, avant même de tester à long terme les impacts qu'elle va engendrer.
Nombre d'exemples pourraient être cités, pour prouver ces fautes par manque d'humilité et de "principe de précaution", comme on l'exprime maintenant.
Voici un exemple récent, d'un effet non envisagé, et venant inverser totalement le but escompter.
Des essais suffisant avaient-il été menés, il faut croire que non.
Si ces matériaux avaient été fait testés avec le sérieux, la rigueur, et le temps nécessaire, pourquoi n'auraient-on pas anticipé ce risque majeur.
Quelles que soient les études, et les précautions prisent, le résultat prouve, que ce qui a été fait, n'a pas été suffisant !.
Depuis quelques temps, les visiteurs des plages d’Atlantique et de la Manche constatent la présence par milliers de rondelles en plastique ayant la forme des camemberts d’un jeu bien connu. Elles ont été également identifiées dans certains cours d’eau comme la Seine. Mais aussi en Espagne sur les plages de Cantabrie. La source de cette pollution est longtemps demeurée une énigme, mais l’association Surfrider a enfin identifié l’origine. Ces rondelles de plastique proviennent de certaines stations d’épuration municipales ou industrielles : il s’agit de supports destinés à favoriser le développement des bactéries qui assurent la dernière étape du traitement des eaux (cela augmente le rendement de la dépollution). Lorsque des débordements se produisent, elles partent par milliers au fil des fleuves et finissent par aboutir dans la mer. Leur nom ? Les media flitrants.