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L'avenir sera ce qu'on en fera !

Pour un avenir durable et partagé. Parce que je veux croire que l'humain et l'humanité qui en émane pourrait ne pas être un cancer pour la terre et un vampire pour ces congénères. Profondément humaniste, pacifiste, je n'entrevois qu'une solution d'avenir durable et pérenne, en finir avec la destruction systémique de notre écosystème nourricier qu'est la planète. Je prône l'égalité d'importance de toute vie, minérale, végétale, animale, humaine car toute vie est interdépendante des autres. Et rappelons nous, la seule énergie qui n'émet pas de GES est celle qu'on utilise pas ! Le superflue de nos consommations c'est de l'énergie vitale que nous volons à nos enfants et aux leurs !

Une initiative parmi d'autres à promouvoir, et encourager !.

Publié le 27 Octobre 2010 par Daniel JAGLINE djexreveur in Agriculture

Pourquoi celle-ci plus qu'une autre, parce que c'est en Bretagne, et c'est demain !, alors si vous êtes du côté de Lannion, intéressez vous à cette démarche, elle me semble très positive.

http://www.letelegramme.com/local/cotes-d-armor/lannion-paimpol/ville/agriculture-nous-devons-repenser-nos-facons-de-faire-27-10-2010-1096432.php

Extrait :

"Comment sortir les professions agricoles de la crise actuelle, par la mise en place de filières respectueuses de l'environnement ? Éléments de réponse, demain soir, à la salle Savidan...

«Il est temps de passer de la contestation à la construction!» L'appel lancé le 16mai dernier par Denis Baulier et Jacques Péquériau, sur la plage de Saint-Michel-en-Grève, dans le cadre d'un rassemblement contre les marées vertes, trouvera un nouvel écho jeudi soir, à la salle Savidan. Dans le cadre d'une réunion publique, les deux hommes présenteront en détail leur projet de constitution de filières agricoles «d'un nouveau genre». ......Pour parvenir à convaincre définitivement de la validité de leur modèle, les deux hommes ont défini une première étape test. Jusqu'en 2015, les prochaines années seront celle de l'expérimentation, «une phase laboratoire» qui verrait le jour en périphérie de Lannion. «Le site n'est pas encore arrêté mais nous avons déjà plusieurs options.» Les deuxhommes annoncent aussi qu'une vingtaine d'agriculteurs seraient prêts à les suivre, ainsi que trois structures de transformation (un boucher-charcutier, un boulanger et un restaurateur). «C'est un bon début, estime Denis Baulier, les choses commencent à bouger. Nous souhaitons juste que davantage d'acteurs nous rejoignent.» Car c'est bien le but de la réunion de jeudisoir. Alerter, convaincre, et faire bouger les lignes."

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