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L'avenir sera ce qu'on en fera !

Pour un avenir durable et partagé. Parce que je veux croire que l'humain et l'humanité qui en émane pourrait ne pas être un cancer pour la terre et un vampire pour ces congénères. Profondément humaniste, pacifiste, je n'entrevois qu'une solution d'avenir durable et pérenne, en finir avec la destruction systémique de notre écosystème nourricier qu'est la planète. Je prône l'égalité d'importance de toute vie, minérale, végétale, animale, humaine car toute vie est interdépendante des autres. Et rappelons nous, la seule énergie qui n'émet pas de GES est celle qu'on utilise pas ! Le superflue de nos consommations c'est de l'énergie vitale que nous volons à nos enfants et aux leurs !

Islande, qu'est-ce que le système bancaire et les économistes vont penser de cela ?

Publié le 28 Janvier 2013 par Daniel JAGLINE djexreveur in Information générale

Je n'oserais aucun commentaire sur cette affaire, tant cela dépasse de loin mes compétences, mais j'ai hâte de lire tout ce qui va être commenté à ce sujet, qui me semble revêtir une grande importance, pour ce qui est du regard que l'on peut porter sur la 'dette' !

a look

Afin que mes lecteurs comprennent pourquoi je fais cette incurtion dans ce domaine, c'est que je suis profondément convaincu que le système financier globalisé boursier spéculatif est pour beaucoup dans les diverses crises auxquelles nous allons devoir nous confronter, y compris la crise environnementale, climatique, bien évidemment celle économique, mais aussi celle sociétale.

Je considère qu'une partie de 'la dette' dites des États, est une supercherie, une escroquerie, je considère qu'une grande partie de ces sommes à rembourser est totalement illégitime, et vous invite lect(euses)eurs à vous informer vraiment si vous n'en êtes pas conscient.

L'Islande à laissé des banques sombrer, car elle a estimé qu'elle n'avait pas à payer des erreurs, des mauvaises gestions, et des spéculations, à la place de celles ci, au contraire de ce que nous faisons ici en Europe où les banques sont sécurisées par les États, renflouées par ceux ci, alors qu'elles prennent des risques inconsidérés, et font payer la facture aux contribuables. 

Cela ne peut pas durer et être encadrer.

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