Voici un exemple, il y en a toute une panoplie !.
Chacunes de nos actions, chacuns de nos choix entrainent des conséquences sur le millieu environnant.
Dès lors que l'humain construit quoi que se soit, pour quoi que ce soit, il exerce une forme de destruction de l'écosystème présent sur le site, et bien plus !.
Une centrale nucléaire, un champs de panneaux solaires, un champs d'éoliennes, une centrale hydro-electrique, rien n'y échappe, alors quoi ?.
Que convient-il de faire?.
Il y a fort à parier, qu'il n'y a pas de réponse globales satisfaisante.
Chaque cas devrait sans doute, en tout cas, c'est mon avis, être intelligemment étudié, en concertation, et dans la transparence, souvent il n'en est rien, et alors on se retrouve dans la confrontation, comme s'il n'y avait qu'un choix possible faire ou ne pas faire !?.
Et si on s'essayais aux compromis, compromissions, vont traduirent certains !?.
La question est posée !.
Extrait :
"Anne Pénalba, présidente de France Hydro-Électricité, ne manque pas d'arguments pour plaider sa cause : « Nous produisons une énergie propre, mature et permanente. Nous avons en France une excellente filière et un savoir-faire reconnu. Il y a tous ces côtés positifs et la nécessité d'assurer la qualité du milieu. Mais ce n'est pas contradictoire. » Elle précise : « Il est essentiel d'assurer la continuité écologique, et nous, nous disons que nous savons faire. Ce sont de petits ouvrages sur lesquels il suffit d'effectuer des aménagements intelligents, que ce soit les passes et échelles à poissons ou les vannes pour l'écoulement des sédiments. »
Vice-président de la Sepanso et porte-parole de France Nature Environnement pour les problèmes de l'eau dans le Sud-Ouest, Michel Rodes n'a pas le même point de vue : « Le problème des petits barrages, c'est qu'ils massacrent ce que nous avons de plus précieux, assure-t-il. Ceci parce qu'ils s'installent dans les têtes de bassin, qui sont souvent d'importants réservoirs biologiques. Ce sont aussi des zones présentant un très bon état écologique des eaux, dont certaines sont classées Natura 2000. Si on prend la vallée d'Aspe, pratiquement tous les ruisseaux sont équipés de ces petites centrales et on peut estimer que 85 % des rivières du bassin Adour-Garonne en possèdent. C'est déjà trop.".