A chaud, encore porté par le vent et en proie à la fatigue, juste quelques mots.

Ils avaient annoncé (Préfets et médias) une journée noire, aux commerçant consignes de baiser rideaux, aux populations celle de se méfier des manifestants comme de la peste, s'il s'agissait de se prémunir et de se garder des effets d'un nuage nucléarisé portés par les vents d'ouest/Sud-ouest, les Nancéen·e·s pourraient toujours tenter d'appliquer les mêmes recommandations elles seraient totalement insuffisantes et inefficaces. Ce jour elles étaient tout simplement totalement inutiles, la manifestation fut d'une tranquillité exemplaire, il faut dire que la nassage policier était d'envergure et parfaitement orchestré, quand ils mettront la même sagacité à contraindre les vrais casseurs et autres malfaiteurs, la populace pourra être tranquille !
Cette fatigue qui m'a fait commettre une bévue va m'empêcher de joindre 2 photos à ce post, les deux seules que j'avais prise cette après midi, mais une mauvaise manip et les voilà effacée définitivement avant transfert sur mon ordi, je tenterais de les retrouver, car les deux ne manquerons pas je pense d'apparaître dans la presse au moins locale, dont voici un premier aperçu.
Mr Le Maire Laurent Henart, je voudrais moi dire mes regrets d'entendre encore un élu en charge de grandes responsabilités traiter une telle situation par une telle désinformation et de tels propos manipulateurs, et ce sont des décideurs comme cela qui gèrent leurs villes en s'arrangeant avec la vérité et en tordant volontairement les messages pour en nier et en dénigrer le sens. Personne ne dit qu'il ne faut pas s'occuper et traiter les déchets, bien au contraire, c'est justement ce qui est revendiqué, qu'ils soient vraiment géré, et pas enfoui, surveillé et pas caché, le reconnaître les obligeraient à reconnaître leurs abandons, et leurs impostures.
Si tout se passe comme prévu, il n’est pas exclu qu’une part des populations subisse une irradiation
La phrase qui apparaissait sur l'une des photos que je voulais joindre, l'autre étant celle d'une grande banderole déployée sur le côté d'un pont que nous avons traversé, et que je joindrais lors d'un prochain billet car pour sûr j'y reviendrais car j'aurais encore à en dire assurément.