Dès l'annonce de l'introduction du principe de simplification, j'avais compris et partagé mes craintes au sujets des envisageables dégâts pour les défenseurs de la nature et de l'environnement dans cet engrenage systémique de la croissance à tout prix. J'avais vu juste, Reporterre consacre une série de trois articles aux normes et leur application, le principe de "non-régression" se voit bafoué évidemment, dans la droite ligne des rebours et reculades sur la lutte contre le réchauffement climatique, et les dégradations des écosystèmes et de la nature en général.
Premier volet : "Le droit de l'environnement est détricoté au nom de la simplification"
Deuxième volet : "Manque de fonctionnaire et sanctions dérisoires affaiblissent le droit de l'environnement"
Troisième volet : "Il faut réformer le droit de l'environnement, voici les pistes à suivre"
Ces craintes ce sont concrétisées pour la plupart, et d'autres sont apparues qui n'avaient même pas été songé par les plus pessimistes dont je fais parti.
Je ne me sors pas de cette période qui risque de durer pendant laquelle le travail me submerge et m'accapare, je ne vais donc pas commenter davantage ce partage, je fais confiance aux analyses des auteurs qui s'expriment sur Reporterre, je vous encourage donc à lire et de faire votre propre opinion.