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L'avenir sera ce qu'on en fera !

Pour un avenir durable et partagé. Parce que je veux croire que l'humain et l'humanité qui en émane pourrait ne pas être un cancer pour la terre et un vampire pour ces congénères. Profondément humaniste, pacifiste, je n'entrevois qu'une solution d'avenir durable et pérenne, en finir avec la destruction systémique de notre écosystème nourricier qu'est la planète. Je prône l'égalité d'importance de toute vie, minérale, végétale, animale, humaine car toute vie est interdépendante des autres. Et rappelons nous, la seule énergie qui n'émet pas de GES est celle qu'on utilise pas ! Le superflue de nos consommations c'est de l'énergie vitale que nous volons à nos enfants et aux leurs !

Bois et forêts en proie à la marchandisation, qui pour les défendre ? Les gardes forestiers eux aussi sont abattus.

Publié le 3 Novembre 2018 par Daniel JAGLINE djexreveur in Biodiversité, conviction, commerce, Environnement, Information générale, intérêt général, politique, Questionnement Fondamental, transition sociétale

J'en suis à me demander parfois si des propriétaires privés ne sont pas pour certain·e·s de meilleur·e·s administrat·rice·eur·s des forêts, quand certain·e·s d'entre-elleux semblent mieux les préserver que l'État et ses services, qui eux veulent en faire un nouveau marché de la sylviculture, loin de l'objectif essentiel de gestion du patrimoine et de protection de la vie forestière qu'ils n'envisagent plus qu'en terme de ressource.

Il y a comme un paradoxe, la forêt à grandi en France ces dernières décennies, mais elle n'a sans doute jamais été en plus grand danger ! Si la privatisation pouvait ne pas être à craindre, si tant est que les propriétaires étaient de la veine de celleux que j'ai évoqué plus avant, m'est avis que les nouveaux acteurs qui se présenteraient maintenant n'ont pas de meilleures intentions que les administrateurs étatiques.

Les gardes forestier·e·s l'ont bien compris elleux qui sont aussi sacrifié·e·s sur l'autel de la "rentabilité", ils ne veulent pas devenir de "simples coupeurs de bois" et voir l'ONF restreinte au rôle de productrice de bois. La forêt est un trésor, une démonstration vivante de ce que la nature nous donne comme bienfaits, et pourtant les décideurs institutionnels veulent l'ordonnancer, la calibrer, l'optimiser, en faire une valeur industrielle, si la déforestation n'est plus vraiment à craindre c'est le risque de la malforestation qui se fait jour.

 

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