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L'avenir sera ce qu'on en fera !

Pour un avenir durable et partagé. Parce que je veux croire que l'humain et l'humanité qui en émane pourrait ne pas être un cancer pour la terre et un vampire pour ces congénères. Profondément humaniste, pacifiste, je n'entrevois qu'une solution d'avenir durable et pérenne, en finir avec la destruction systémique de notre écosystème nourricier qu'est la planète. Je prône l'égalité d'importance de toute vie, minérale, végétale, animale, humaine car toute vie est interdépendante des autres. Et rappelons nous, la seule énergie qui n'émet pas de GES est celle qu'on utilise pas ! Le superflue de nos consommations c'est de l'énergie vitale que nous volons à nos enfants et aux leurs !

Zones de non traitements, pour réduire les phytosanitaires augmentons les surfaces à traiter ! Y'a pas comme un défaut ?

Publié le 13 Octobre 2018 par Daniel JAGLINE djexreveur in Agriculture, Biodiversité, conviction, Environnement, eau, Information générale, intérêt général, Pollution, pesticides, Questionnement Fondamental, santé, transition sociétale

Haro sur les ZNT plus il en faudrait, plus on les réduit !

À les lire ce sont certains agriculteurs qui seraient pourtant les pires victimes des nouvelles dispositions "permicides" en terme de zone d'épandage possible,  par la réduction des ZNT (Zone de Non Traitement), eux y voient de "potentielles" réductions de leurs capacité à épandre, sont pas à une énormité près quand ils s'y mettent !

Je suis tombé sur ce premier article mis en lien, en fouillant sur le net comme à mon habitude pour parler d'un sujet que j'avais partagé lorsque les premières alertes sur la réduction des ZNT sont sorties, par une entourloupe aux cartes IGN, comme cela se confirme donc. Ils ne peuvent pas non plus avoir déjà oublié le scandaleux cadeaux que leurs ont fait les député·e·s macronien·e·s en refusant les ZNT autour des lieux de vie !

Je ne saurais trop encourager ces zélés du traitements d'aller assister à une soirée témoignage et information de l'association "Soutien aux victimes des pesticides", témoins qui sont pour la plupart encore des agricult·trice·eur·s, première salve de victimes, les riverains seront de la deuxième salve naissante et en devenir, et à s'informer sur les récentes "intoxications" de riverains en Maine-et-Loire, ce pourrait-être ailleurs, c'est d'ailleurs le cas, sauf que ce n'est pas encore assez visible et médiatisé, seulement n'en doutez pas les conséquences ne vont pas rester dans l'ombre encore très longtemps.

 

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