
31% seulement des produits chimiques se révèlent vraiment conformes au trop laxiste règlement REACH et pourtant tous sont autorisés, quand à ceci s'ajoute les dérogations de l'Union Européenne, les usages inappropriés ou irresponsables, illustrés récemment par le nouveau cas révélateur en Maine-et-Loire, qui s'ajoute à une déjà très longue liste de déficiences systémiques et de malversations organisées, ont est en droit de se demander en quoi nous sommes bien protégés !
Tous les systèmes de protections sont pervertis et faibles faces aux tricheurs. Tant qu'on restera dans cette proposition basique qui veut que ce soit les industriels eux-mêmes qui évaluent leurs produits et déclarent ce que bon leurs semble, ont sera dupé, et en même temps on accorde à ces derniers des droits supérieurs d'occultations de leurs productions sous prétextes de secrets industriels, le pire des scénarios.
Combien de temps allons encore accepter cela ?