Pour un avenir durable et partagé. Parce que je veux croire que l'humain et l'humanité qui en émane pourrait ne pas être un cancer pour la terre et un vampire pour ces congénères. Profondément humaniste, pacifiste, je n'entrevois qu'une solution d'avenir durable et pérenne, en finir avec la destruction systémique de notre écosystème nourricier qu'est la planète. Je prône l'égalité d'importance de toute vie, minérale, végétale, animale, humaine car toute vie est interdépendante des autres. Et rappelons nous, la seule énergie qui n'émet pas de GES est celle qu'on utilise pas ! Le superflue de nos consommations c'est de l'énergie vitale que nous volons à nos enfants et aux leurs !

Agir ou laisser faire, faut-il qu'ils ne soient plus aux affaires pour se mettre à réfléchir ? Le monde des affaire au service de l'avenir de l'humanité !?

Publié le 2 Octobre 2018 par Daniel JAGLINE djexreveur in conviction, Climat, consommation, croissance, CO2, Environnement, finance, GES, Humanisme, Information générale, intérêt général, Questionnement Fondamental, réchauffement climatique, richesse, transition sociétale

Ce n'est même pas de perplexité dont je souffre en lisant cela, mais

d'incrédulité, et surtout de scepticisme dubitatif !

L'idée même de garder un paradigme de croissance me semble vouer par avance à l'échec une telle vision, mais il y a là tout de même un fait important c'est que de nombreuses propositions que je pourrais soutenir apparaissent, alors de là a promouvoir et soutenir une telle proposition il y a un pas que je ne franchirais pas, car l'idée même que le système capitaliste perdure avec tout ce qu'il génère comme conséquence néfaste me rend celle ci inacceptable.

Un goût de Rapport Stern II.

Faites vous votre opinion.

Le mien est sans équivoque il s'agit là d'une énème et sans doute ultime tentative de récupération par le système, pour s'approprier à son profit de bonnes idées anti-systèmes.

Haut-fonctionnaires et grands Corps de l'État, quand la noblesse privatisée remplace la noblesse d'État ou le peuple victime d'une autre oligarchie.

Les populations aussi nommées "Le public", sans pouvoir, réduitent à la concertation peuvent-elles orienter les pouvoirs public ? Y-a-t-il vraiment débat ?

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