On le dénonce depuis longtemps déjà, à grand renfort d'exemples divers, mais qui écoute ?
Les élu·e·s n'ont d’existence légitime que parce qu'elles et ils sont sensé·e·s être les voix des citoyens et de la population dans son ensemble, c'est là leur mission, leur mandat, leur attribut, enfin c'est ce qui devrait-être car en réalité les intérêts qu'ils défendent sont tout autres.
Rien ne peut être pire à mon point de vue, car il y a là une trahison fondamentale, celle ci est encouragée par d'autres forces et d'autres voix de non élu·e·s qui elles et eux n'ont pas à supporter cette accusation de trahison, mais dont les intentions sont méprisables, ce sont les grands corps de l'État, les ministères et entre-autres le conseil d'État dont les Amis de la terre et l'Observatoire des multinationales confirment l'influence grâce à de nouveaux documents obtenus dans le cadre d'une enquête publique que j'avais relayée lorsque j'en ai entendu parler.
N'est-il pas temps d'en finir avec un système aussi peu démocratique ?