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L'avenir sera ce qu'on en fera !

Pour un avenir durable et partagé. Parce que je veux croire que l'humain et l'humanité qui en émane pourrait ne pas être un cancer pour la terre et un vampire pour ces congénères. Profondément humaniste, pacifiste, je n'entrevois qu'une solution d'avenir durable et pérenne, en finir avec la destruction systémique de notre écosystème nourricier qu'est la planète. Je prône l'égalité d'importance de toute vie, minérale, végétale, animale, humaine car toute vie est interdépendante des autres. Et rappelons nous, la seule énergie qui n'émet pas de GES est celle qu'on utilise pas ! Le superflue de nos consommations c'est de l'énergie vitale que nous volons à nos enfants et aux leurs !

Le climat (enfin) reconnu par l'ONU comme un facteur de la géopolitique et de la sécurité international ?

Publié le 16 Juillet 2018 par Daniel JAGLINE djexreveur in Environnement, eau, Humanisme, Information générale, intérêt général, Pollution, Questionnement Fondamental, réchauffement climatique, sécurité alimentaire, transition sociétale

Je ne sais si cela peut-être considéré comme une vrai bonne nouvelle à venir, car ce qu'il me semble pouvoir dire déjà c'est qu'on en est encore qu'au stade des bonnes intentions, mais si le réchauffement climatique entre vraiment en jeu dans les décisions géopolitiques je ne suis pas sûr que ce soit pour venir en aide aux populations qui en ont le plus besoin !

Parmi les conséquences très néfastes du changement rapide du climat, et d'ailleurs identifiées par le Conseil de l'ONU comme une des premières causes à prendre en compte, avec les raréfactions hydriques, entraînant entre-autres, désertifications, baisse des rendements agricoles, salinisation des eaux côtières, recul des front de

mers, etc etc, il y a les migrations forcées de celles et ceux qu'on catégorise encore, notamment en France, comme des réfugiés "économiques".

Si vous ne le savez pas il s'agit de celles et ceux qu'on ne sauraient laisser venir jusque chez nous, parce que fuir un pays juste par ce qu'on ne peut plus s'y nourrir n'est pas considéré comme une raison suffisante pour être admissible à l'accueil sans conditions.

Est-ce que le changement de regard de l'ONU y changerait vraiment quelque chose   

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