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L'avenir sera ce qu'on en fera !

Pour un avenir durable et partagé. Parce que je veux croire que l'humain et l'humanité qui en émane pourrait ne pas être un cancer pour la terre et un vampire pour ces congénères. Profondément humaniste, pacifiste, je n'entrevois qu'une solution d'avenir durable et pérenne, en finir avec la destruction systémique de notre écosystème nourricier qu'est la planète. Je prône l'égalité d'importance de toute vie, minérale, végétale, animale, humaine car toute vie est interdépendante des autres. Et rappelons nous, la seule énergie qui n'émet pas de GES est celle qu'on utilise pas ! Le superflue de nos consommations c'est de l'énergie vitale que nous volons à nos enfants et aux leurs !

Choisir qui on accueille ou pas est la plus inhumaine des attitudes, leurs droits fondamentaux valent les nôtres.

Publié le 24 Juillet 2018 par Daniel JAGLINE djexreveur in conviction, Climat, Humanisme, Information générale, Liberté, Peuple, Questionnement Fondamental, réchauffement climatique, richesse, Social, sécurité alimentaire, transition sociétale

Quelles que soient les raisons qui les amènent ou les poussent à migrer, s'exiler, ou chercher un autre lieu de vie, que ce soit en réponse à des causes politiques, économiques, climatiques ou par simple choix de vie, chaque individu a les mêmes droits fondamentaux.

Quelques soient les arguments invoqués pour contrevenir à ces droits fondamentaux, ils sont, à mon sens, nuls et non avenus face à la nécessité de survie d'un être humains d'où qu'il vienne. Il est admis comme réfugié·e·s, « Toute personne (…) qui, craignant d’être persécutée du fait de sa race [son origine], de sa religion, de sa nationalité, de son appartenance à un certain groupe social ou de ses opinions politiques, se trouve hors du pays dont elle a la nationalité et qui ne peut ou, du fait de cette crainte, ne veut se réclamer de la protection de ce pays ; ou qui, si elle n’a pas de nationalité et se trouve hors du pays dans lequel elle avait sa résidence habituelle à la suite de tels événements, ne peut ou, en raison de ladite crainte, ne veut y retourner. »

La vie des migrants et exilés dont la survie ne peut plus être assurée soit parce qu'ils subissent la misère, le réchauffement, la désertification, l'exclusion sociale ou idéologique, etc qui rendent leurs territoires inaccueillant ou stériles et impropres à garantir leur autosuffisance est en danger. Ils ne peuvent retourner dans ses territoires qui étaient les leurs sans y risquer une mort certaine à court ou moyen terme, qu'elle différence ?

Il n'est pas seulement question de "fraternité", il est question de droit fondamentale humains, que nous revendiquerons peut-être pour nous même un jour à l'avenir, tant est incertain cet avenir. 

Qu'on l'admette ou pas notre responsabilité est immense face à cette situation  qui amène et pousse autant d'humains à quitter la terre qui les a vue naître et dont ils sont obligés de se déraciner. Je ne reviendrais pas sur certaines de ces responsabilités historiques, par contre je partage le point de vue suivant d'Aminata Dramane Traoré, qui ajoute effectivement des arguments selon moi à notre responsabilité, parce que même si nous en sommes nous aussi les victimes, c'est tout de même bien pour notre vie de privilégiés que nous en sommes là, et nous les rejetterions maintenant ! 

Je ne partage pas tout de cette analyse, je ne crois pas par exemple que les noirs africains seraient les seuls cibles, ce sont tous les migrants pauvres qui sont considérés comme malvenu, c'est une honte.

 

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