Pendant que j'avançais au milieu de mes congénères à Bar le Duc ce samedi 16 juin pour manifester mon opposition à l'enfouissement des déchets nucléaires, clamant ni à BURE ni ailleurs, parce que je suis convaincu que cette orientation n'est pas une solution, que c'est même le pire des scénarios possible, l'un de mes échanges avec un inconnu parmi tant d'autres qui marchaient comme moi dans cet objectif de résistance, m'amena dans la conversation à plaisanter en disant que j'aimerais assez trouver un fin jeux de mots qui relierait soit le terme de chouette soit de hibou avec Nicolas Hulot, mais que rien ne me venait dans cette circonstance.
Plus tard, mais cet inconnu ne le saura sans doute jamais, me vint cette phrase (en terme de finesse j'ai encore beaucoup de progrès à faire, j'en suis conscient), ça dit : Nicolas il est temps de libérer la chouette hulotte qui est en toi !"
Mais Nicolas, même si il bout d'avaler tant de couleuvre après s'être jeté dans la gueule du loup, singe le rôle de Ministre sans monter sur ses grands chevaux, même si on lui monte un lapin, il pratique la politique de l'autruche et se fait prendre pour un pigeon, je ne crois pourtant pas qu'il soit bête comme un âne, bien qu'au bout du compte ce sera bien lui qui tiendra le rôle de dindon de la farce, mais finissons en de cette digression et revenons à nos moutons.

Nicolas Hulot est tombé dans un traquenard, c'est beaucoup plus que de la chance qu'il lui aurait fallu pour s'acquitter sans décevoir de l'immense tâche qui l'attendait, et qui attend toujours !
Bien négative est l'esquisse prévisionnel d'un mini bilan de seulement un peu plus d'un an, qui ne pourra réellement n'être fait qu'en fin de mandat, parce qu'on en a pas fini, s'il va au bout, ce que je l'enjoins à ne pas faire, bien que je n'ai guère envie d'être indulgent avec celui qu'on ne peut même pas accuser de traîtrise puisqu'il était déjà en cheville bien avant avec la marche forcée de l'industrie, et je ne vois aucune raison pour que cette tendance s'inverse.
S'il y a une transition en marche Nicolas, m'étonnerait que ce soit la tienne, il n'y a pas que le nucléaire qui nous mène à la dérive, il y a aussi ses déchets et les parasites humains que sont les affairistes qui nous marchent dessus et nous spolient d'un pognon de dingue !