Dans une Union Européenne qui subordonne toute action des États membres au remboursement de la dette dont la légitimité n'est jamais questionnée, on pourrait, on devrait s'attendre à une lutte sans merci prioritairement axée sur l'aide à ces États pour récupérer toutes les contributions financières qui leurs sont dû afin de rendre cette argent, puisque les deux parties ont cet objectif en commun !
Alors comment pourrait-on, et en vu de quel objectif, justifier que soit sabordée par ces même acteurs ce qui pourrait contribuer à fournir une grande partie des recettes destinées pour une large part au remboursement de cette prétendue dette, à moins qu'elle ne soit bien qu'une machination ?
Les espoirs d'OXFAM sont donc évanouis, leurs craintes, elles, par contre se voient avérées, la déficience paradoxale dont font preuve les décideurs économiques des pays européens à leurs propres dépend, si ce qu'on nous assène comme chantage à la dette est bien vrai, est un non sens incompréhensible.
Quels noirs desseins poursuivent donc alors nos ministres des économies en rendant une copie à travers laquelle ils blanchissent de nombreux paradis de l'évasion fiscale, et évitent toutes sanctions vraiment exemplaires et dissuasives ?