L'augmentation, que plus personne ne peut contester, de la température globale planétaire estimée maintenant autour de 1,1° de plus qu'avant l'ère industrielle ne peut pas officiellement être retenue comme le "seul" facteur déterminant de l'amplification et l'amplitude de nombre de phénomènes météorologiques, les incidences sont beaucoup plus subtiles et complexes à en croire les experts climatologues et les météorologues.
Soit, pourtant, si isolement chacune des manifestations météorologiques extrêmes peut trouver dans son expression des rapports de causalités circonstanciées, et particulières, plus globalement de moins en moins de spécialistes hésitent à y voir une cause essentielle pouvant justifier l'accroissement et le grossissement des événements remarquables.
Feux, cyclones, sécheresses, ce qui pourrait paraître paradoxal, période de grands froids intenses et s'allongeant, augmentent tant en terme quantitatifs, qu'en terme de d'intensités et ces jours derniers au sujet de l'ouragan Harvey l'affirmation tombe, "le changement climatique à aggravé les conséquences de l'ouragan"
Ais-je besoin de rappeler la position du gouvernement Trump aux États-Unis, qui bien que combattue et inappliquée dans certaines de cette fédération d'États très divers dans leurs visions et leurs choix, influence tout de même grandement la politique d'un des pays les plus influent du monde, et celle de nombreux autres qui se sentent légitimés à ne pas accélérer leurs politiques contre le réchauffement?
Ais-je besoin de rappeler l'insuffisance caractérisée des options prisent par la COP21 pourtant considérée comme étant l'acte international le plus aboutie en terme de lutte globale contre le changement climatique?
Ce sont les pays pauvres qui, parce qu'ils sont les plus rapidement et le plus intensément déjà concernés, qui font le plus d'efforts, en fonction bien sûr de leurs moyens bien inférieurs pourtant, jusqu'à quand une telle injustice va-t'elle perdurer?
Il n'est plus possible de laisser nos dirigeants repousser encore et encore les décisions certes drastiques qui sont nécessaires, nous serions alors vraiment coupable de non assistances à personnes en danger, car c'est bien de cela dont il s'agit.
Nous savons, alors qu'allons nous faire?
Nous devons exercer par divers moyens une forte pression sur tous les décideurs politiques et industriels, pour influencer leurs choix et leurs changements d'attitudes, cela passe par de nombreuses formes d'actions, qui doivent aller jusqu'au boycott. Ça commence j'en suis convaincu par notre propre attitude de consommateur, réduisons nos consommations, questionnons ce que sont nos "besoins réels" choisissons ce que nous consommons en fonction de leurs impacts environnementaux et écologiques, nous sommes le premier élément d'une grande chaîne qui doit s'extirper du consumérisme pour aller vers un consommation à minima raisonnée, réduite, sans quoi c'est notre avenir même que nous hypothéquons!