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L'avenir sera ce qu'on en fera !

Pour un avenir durable et partagé. Parce que je veux croire que l'humain et l'humanité qui en émane pourrait ne pas être un cancer pour la terre et un vampire pour ces congénères. Profondément humaniste, pacifiste, je n'entrevois qu'une solution d'avenir durable et pérenne, en finir avec la destruction systémique de notre écosystème nourricier qu'est la planète. Je prône l'égalité d'importance de toute vie, minérale, végétale, animale, humaine car toute vie est interdépendante des autres. Et rappelons nous, la seule énergie qui n'émet pas de GES est celle qu'on utilise pas ! Le superflue de nos consommations c'est de l'énergie vitale que nous volons à nos enfants et aux leurs !

Est-ce que c'était trop bio pour rester vrai? L'expansion du bio allèche les multinationnalles, danger à l'horizon

Publié le 13 Juin 2017 par Daniel JAGLINE djexreveur in Agriculture, Alimentation mondiale, Biodiversité, conviction, consommation, commerce, Environnement, Europe, Information générale, intérêt général, nourriture, politique, pesticides, Questionnement Fondamental, santé, sécurité alimentaire, transition sociétale

Je n'ai ni le temps, ni l'intention aujourd'hui de tergiverser et de tourner autour du pot, la question fort simple qui se pose aujourd'hui au sujet du bio, est de savoir s'il va être possible de faire confiance à ces produits encore longtemps?

Je crois qu'en fait hors des productions personnelles ou très locales par des producteurs connus et de confiance, de nombreuses suspicions sont déjà dans l'air!

Mon intention n'est en aucune manière de nuire à l'image du bio, mais au contraire de relayer les alertes au sujets de ce qui germe et qui veut nuire réellement à l'esprit de ce qu'est une vrai production biologique saine et naturelle.

La tentation du bio low-cost est grandissante, mais que faudrait-il réduire si ce n'est la qualité?

Finalement pour cette fois la révision faute de majorité évite le pire de ce qui était redouté, mais jusqu'à quand?

Les dérogations restent, les seuils de résidus phytosanitaires, donc chimiques, gardent leurs caractères fluctuant selon les pays, ce qui revient à dire que du bio consommable en France peut en être entaché, pour peu qu'il vienne d'ailleurs, d'où la question fondamentale à se poser lorsque l'on achète dans les circuits de grande distribution, est : d'où vient-il d'ailleurs!

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