Depuis le premier mars la zone rouge reste la seule officiellement inhabitable, pour le reste les anciens habitants ou de nouveaux qui voudraient s'y risquer sont invités, encouragés à revenir s'installer.
Les sangliers eux n'ont pas attendu qu'on les y autorise, il faut dire qu'il sont très actifs !
Là où le retour avait déjà été programmé dans un premier temps, seuls 10% sont revenus, et pourtant ces zones sont plus éloignées que celles que le gouvernement japonais vient de reclasser habitable.
Ce qui rend ce retour possible tient à un fait, la multiplication par un facteur 20 de la dose "admissible" de radioactivité en temps normal et par un facteur 100 en cas d'accident nucléaire, et si vous pensez que cela n'est possible qu'au Japon parce que vous n'avez pas bien suivi les suites de l'accident nucléaire qu'un jugement japonais à déclaré officiellement évitable, vous faites une grave erreur donc ces nouveaux taux sont maintenant ceux de l'Europe également donc le taux de 1 mSv/an c'était avant. Bien que condamnés en vertu des propres loi japonaises, l'État et Tepco, s'en tire avec un jugement amenant des compensations ridicules et totalement inadaptées.
Et pourtant le discours officiel international déclame un "retour à la vie !"
Je suis même effaré qu'il n'y ai pas plus de réactions même dans les milieux d'oppositions en France et ailleurs, en tout cas on en entend pas parler.
Une chose me parait certaine, après qu'on nous ai préparé à accepter l'accident nucléaire dont le taux de probabilité augmente de jours en jours, nous voilà donc prévenu, ce qui se prépare maintenant c'est d'accepter de vivre en zone irradiée, ni plus ni moins !
Je pense à ces japonais pour le moment, ce peuple qu'on abuse, pour des intérêts inacceptables à mes yeux, à mon cœur et à ma raison.