Overblog
Editer l'article Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
L'avenir sera ce qu'on en fera !

Pour un avenir durable et partagé. Parce que je veux croire que l'humain et l'humanité qui en émane pourrait ne pas être un cancer pour la terre et un vampire pour ces congénères. Profondément humaniste, pacifiste, je n'entrevois qu'une solution d'avenir durable et pérenne, en finir avec la destruction systémique de notre écosystème nourricier qu'est la planète. Je prône l'égalité d'importance de toute vie, minérale, végétale, animale, humaine car toute vie est interdépendante des autres. Et rappelons nous, la seule énergie qui n'émet pas de GES est celle qu'on utilise pas ! Le superflue de nos consommations c'est de l'énergie vitale que nous volons à nos enfants et aux leurs !

Algues vertes : Le retour. Revenues de temps plus anciens l'invasion prolifère.

Publié le 27 Avril 2017 par Daniel JAGLINE djexreveur in Agriculture, Biodiversité, Environnement, eau, Information générale, intérêt général, Pollution, santé

Ce n'est pas une surprise, depuis l'automne et l'hiver dernier les lanceurs d'alertes attentifs avaient prévenus, mais le grand déni continu, depuis les années 70 on tourne autour du pot, on tergiverse, on contourne les vrais problèmes de fond, et ce qui devait arriver arriva !

Au delà même de ce qui était prévisible. 

Pour faire évoluer vraiment la situation actuelle il faudrait des mesures contraignantes obligatoires, or on en est loin et rien ne permet de penser que cela pourrait advenir, pourtant tous les paramètres sont favorables pour rendre cette année de sinistre mémoire.

La précocité des échouages n'a donc rien de surprenant, ce qui l'est plus c'est de comprendre que l'une des causes remonte loin dans le temps, on pourrait presque parler de la mémoire de l'eau, en effet "ces dérivés de l’azote présent en particulier dans les parcelles cultivées sont patiemment entraînés jusqu’au littoral par une eau qui a séjourné dans les nappes souterraines. « Environ la moitié de cette eau a moins de dix ans, mais une petite partie peut mettre cinquante ans pour arriver à la mer » affirme Sylvain Ballu, chargé de ce dossier épineux au CEVA. Ce qui revient à dire que même si toutes les mesures radicales nécessaires étaient prisent, le passé ferait encore son effet, et livrerait encore ses résidus enfouis mais néanmoins encore actifs et polluants. 

Si bien sûr en surface rien ne venait plus s'ajouter à ce qui s'est infiltré dans les eaux profondes, le problème pourrait sans doute être considérer comme en voie d'éradication, mais tant que l'on continuera à en ajouter encore et encore le problème sera perpétué.

Commenter cet article