L'accès à l'eau, à une quantité d'eau essentiellement vitale, sanitairement primordial, une capacité qui devrait-être indiscutable, reste donc un non-droit dans l'esprit décervelé d'une chambre sénatoriale, certes divisée, mais dont la posture idéologique, le clivage politico/doctrinal où tout doit se vendre d'une partie de ses membres, déshonore notre pays tout entier.
Je ne m'étendrais pas plus sur cette infâme décision, je voulais juste faire part de mon indignation en ce temps très réduit qu'il m'est possible d'accorder à l'écriture aujourd'hui.