Qu'on l'appelle progrès, croissance, évolution ou encore développement, qu'on lui accorde du crédit ou qu'on le redoute et le craigne, tout l'accuse. Tout en dévoile la causalité, tout résulte des actions des pays développés, et de leurs frénétiques avidités à croître, produire, et consommer.
Les pays du Nord pour prendre l'un des raccourcis communément considérés pour parler des Nations qui sont les plus avancés, et qui doivent toutes ces distances technologiques et financières et cette modernisation aux pillages, puis aux inégaux échanges commerciaux post coloniaux. Leurs emprises sur le monde et l'exemple qu'ils ont fait miroiter au reste de ce monde, ont soit attiré dans leurs sillons les pays "en voie de développement", soit exécré au point de faire d'autres contrés des ennemis jurés.
Ce choix consentis d'expansions tant territoriales que matérielles a creusé de tels écarts que même les plus vils et les plus égoïstes des accapareurs n'ont pu que proférer des effets d'annonces mensongers pour prétendre aider à réduire ces écarts entre "l'Occident" et le reste de la planète. Par des effets de manches trompeurs transposant un colonialisme sauvage en une décolonisation commerciale impérialiste, en ont tiré des effets d'aubaines.
la résultante de cette marche forcée mondialisée, produit l'effet papillon des conséquences planétaires délétères que nous commençons à voir pleinement, la surconsommation occidentale menace non seulement les espèces protégées, mais aussi la biodiversité dans son ensemble, le climat, les ressources, les peuples autochtones, en un mots pour tout résumer, la "Vie".
Prenons garde à l'effet Boomerang !