Leur présence sur l'étiquette ne remettrait pas en cause leur dangerosité potentielle, mais le savoir ne serait-il pas normal ?
Normal pour les éviter si on le souhaite.
Normal pour ne pas ignorer leur présence en cas de conséquences.
Normal pour identifier quel type de nano-particule entraîne d'éventuelles conséquences.
Une insuffisante obligation européenne existe déjà, elle a été confirmée fin 2014, comme le rappelle le site "Veillenanos" sauf que bien que juridiquement obligatoire, elle n'est pas appliquée correctement, comme en alerte "Agir pour l'environnement".
Le règlement actuel, qui n'est donc pas appliqué comme il le faudrait, n'est de toute façon vraiment pas suffisant, il a tout de même le mérite d'exister, le faire respecter serait donc le minimum qu'on puisse obtenir.