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L'avenir sera ce qu'on en fera !

Pour un avenir durable et partagé. Parce que je veux croire que l'humain et l'humanité qui en émane pourrait ne pas être un cancer pour la terre et un vampire pour ces congénères. Profondément humaniste, pacifiste, je n'entrevois qu'une solution d'avenir durable et pérenne, en finir avec la destruction systémique de notre écosystème nourricier qu'est la planète. Je prône l'égalité d'importance de toute vie, minérale, végétale, animale, humaine car toute vie est interdépendante des autres. Et rappelons nous, la seule énergie qui n'émet pas de GES est celle qu'on utilise pas ! Le superflue de nos consommations c'est de l'énergie vitale que nous volons à nos enfants et aux leurs !

Ce n'est donc ni l'État ni l'ASN qui décide de la durée de vie des centrales nucléaires, en terme de rentabilité tout au moins, mais le "Conseil d'administration" d'EDF !

Publié le 24 Janvier 2017 par Daniel JAGLINE djexreveur in conviction, consommation, commerce, Environnement, Energie, Information générale, intérêt général, Nucléaire, politique, Questionnement Fondamental, santé, transition sociétale, transition énergétique

Je n'ai ni les connaissances ni les compétences pour estimer et comptabiliser le bénéfice que peut faire une centrale nucléaire comme celle de Fessenheim, mais s'il faut en croire les travailleurs qui en vivent, par la voix de leurs syndicats, ce devrait être nettement plus de 446 millions d'euros pour le temps qu'il pourrait rester à produire pour cette centrale, soit  2, 12 ou 22 ans selon les "scénarii" envisageables, car en effet cette somme est donc jugée dérisoire !

Ce chiffre, si je comprends bien, jugé donc dérisoire, est pourtant au sommet d'une fourchette dont le prix plancher est bien en deçà si l'on en croit cette autre version de l'histoire

Il serait donc bien utile de savoir qu'elle est véritablement la marge financière d'une telle production d'électricité, parce que je me dis que tout compte fait, est-ce que le calcul d'EDF ne serait le meilleur cas de figure qui aurait pu lui arriver. Le calcul serait le suivant, peser de tout son poids pour obtenir des années de productions virtuelles, voir fictives, afin de faire réévaluer, voir surévaluer la valeur marchande de ses centrales qui, faut-il le rappeler, n'ont été construite en réalité que pour une production de 40 ans maximum, et qui ne sont peut-être absolument pas en mesure de vivre jusque là. Aux potentielles pannes récurrentes qui les tiendrons arrêtées immanquablement  on peut ajouter le risque de les voir péter d'ici là. Ensuite feindre de devoir pour répondre aux choix politiques fort bien connus, préalablement, et ainsi obtenir des dédommagements de valeurs qu'elles n'auraient jamais pu atteindre en réalité !

Et qui donc va trancher ? Le Conseil d'administration de EDF lui même, elle est pas belle la vie de nucléocrate !

 

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