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Je ne sais pas si parmi les rares lect(rice)(eur)s qui arrivent jusqu'à l'un de mes billets de blogs, il en est qui le fond régulièrement, je crois toujours laisser place à une possible contradiction, j'affirme certaines choses, j'ai certaines convictions, mais je les sais ébranlables, et évolutives, c'est d'ailleurs l'une des libertés fondamentales que je revendique, celle de pouvoir changer d'avis, parfois même rapidement si une information ou même une impression transforme ma compréhension d'une thématique ou d'une problématique.
Ce que je partage donc n'est pas toujours le reflet d'une conviction ou d'une position personnelle, je peux tout à fait ne pas être parfaitement et en tout points d'accord avec l'approche et les postulats proposés par les auteurs ou les sites que je présente, ma motivation réside dans l'idée que ce qui ne me convainc pas, n'est pas pour autant indigne d'intérêt et que tout autant ce qui me convainc n'est pas pour autant vérité indiscutable, et irréfutable, je suis le mieux placé pour savoir et reconnaître que certaines de mes certitudes d'hier on été ou seront possiblement ébranlées et parfois inversées demain peut-être !
Je suis curieux, et de fait je tente de faire connaître de temps à autres des démarches qui me laissent alors pourtant dubitatif et interrogatif pour le moins, j'ai cette attitude de considérer que certaines approches, bien que ne me correspondant pas, ou pas encore qui sait, mais qui me semblent digne d'intérêt et au moins digne d'être prisent en compte, et questionnées, c'est le cas de cette "vision" pour le moins "révolutionnaire" du temps de sa notion, du destin et de sa qualification, j'en suis encore à la question existentielle pour ma part, et je dois dire que là où j'en suis sur le chemin si toutefois c'est un cheminement, je ne perçois ni sens, ni objectif, juste une forme de néant dont j'aurais sans doute préféré être préservé si le choix informé m'avait préalablement été accessible, un passage douloureux de rien vers le vide, vivifié d'une vanité illusoire.
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Ce n'est qu'en visualisant ce post dans mon navigateur, que je m’aperçois que j'ai choisi en titre de blog cette phrase qui dit que "L'avenir sera ce qu'on en fera", et que je constate que ces deux affirmations qui pourraient apparaître comme identiques d'une certaine manière, revêtent en fait deux définitions différentes, tout au moins à mes yeux, cet avenir que je mets en perspective dans le titre de ce blog envisage ce que nous allons laisser à nos descendants et leurs congénères, pas un avenir réduit à la seule dimension personnelle, ou destinée individuelle, cela ne parle donc pas de la même histoire.
J'aimerais savoir ce que cela vous inspire, mais il semble que mes écrits, soit laissent totalement indifférents, soit sont jugés si insignifiants qu'ils ne méritent même pas le moindre commentaire, à moins qu'ils ne laissent encore pas assez de place à la remise en cause, toujours est-il que je languis d'avoir à répondre et défendre, ou pas, certaines affirmations que je peux parfois avancer, à un moment T de mon évolution ou régression personnelle.