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Considérant que les causes multifactorielles qui atteignent les abeilles et pollinisateurs, restent trop difficiles à évaluer avec la précision nécessaire en l'état actuel des choses, l'ANSES admet ENFIN qu'il n'y a pas d'autre choix que de faire des études ciblées.
Néanmoins, les connaissances et consensus actuels permettent de vérifier sans qu'il soit possible maintenant de le contredire, que l'action cumulée des pesticides et autres phytosanitaires, participe pour le moins très étroitement au syndrome d'effondrement des abeilles.
Il est temps !
Combien de temps va-t'il falloir maintenant pour que les protocoles soient activés et mis en œuvre ?
Espérons que cela va enfin les obliger à mettre les bouchées doubles !