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L'avenir sera ce qu'on en fera !

Pour un avenir durable et partagé. Parce que je veux croire que l'humain et l'humanité qui en émane pourrait ne pas être un cancer pour la terre et un vampire pour ces congénères. Profondément humaniste, pacifiste, je n'entrevois qu'une solution d'avenir durable et pérenne, en finir avec la destruction systémique de notre écosystème nourricier qu'est la planète. Je prône l'égalité d'importance de toute vie, minérale, végétale, animale, humaine car toute vie est interdépendante des autres. Et rappelons nous, la seule énergie qui n'émet pas de GES est celle qu'on utilise pas ! Le superflue de nos consommations c'est de l'énergie vitale que nous volons à nos enfants et aux leurs !

La vrai valeur des choses ne serait-elle que financière ? Pour le monde d'aujourd'hui c'est celle qui compte, oui mais !

Publié le 22 Octobre 2015 par Daniel JAGLINE djexreveur in Questionnement Fondamental, abeilles, Biodiversité, écologie, économie, Environnement, intérêt général, Information générale, nourriture, pollinisation

A vrai dire je ne sais pas trop comment aborder ce thème, qu'elle approche tenter pour ne pas être mal compris ou interprété.

Je considère que la financiarisation de tout de qui touche à la nature est une source fondamentale de déshumanisation et de dévalorisation de la nature, le rapport que l'humain devrait avoir avec sa terre nourricière devrait être exempt de toute relation mercantile, sans quoi la domination de la volonté de possession en vue de tirer ressource et profit ne peut conduire qu'à un accaparement et une sur-exploitation des capacités d'offrande des réserves naturelles. Je parle bien d'offrande, dans le sens ou tout ce que nous pouvons extraire de la terre, des mers et océans, quand bien même cela s'accompagne de toutes sortes d'investissements et de labeurs, car ce qui permet tout ce qui vie, germe, pousse, se renouvelle, dépasse de loin tout ce que l'humain est en mesure de maîtriser et de créer lui même, c'est un forme de don qui est faite à l'homme.

Ce qui lui est offert, l'humain en fait commerce, ce qui paraissait sans doute acceptable aux origines de ce qui as motivé cette valorisation puis cette monétarisation des éléments naturels, est en train de démontrer ses failles et son inaptitude à permettre une gestion saine, équitable et pérenne des ressources, nous en avons la démonstration criante, or loin d'ouvrir les yeux sur l'essence même de la faute, la nature profonde de l'erreur fondamentale qu'il y a dans la valorisation monétaire de la nature et de ce que l'on en soustrait, l'humain poursuit sa folie en donnant un prix à tout, jusqu'où ira-t-il ?

Certains ont commencé à vendre de l'air, à donné un prix au carbone, à donner une valeur aux écosystèmes, voilà maintenant qu'on prétend évaluer et quantifier ce que nous apporte l'intervention naturelle de certains constituants de la vie naturelles. La prétention de chiffrer l'apport des organismes vivants et de leurs interventions et interactions, n'effraient pas certains présomptueux, qui s'arrogent la capacité auto-proclamée de comprendre toutes les incidences, et de les valoriser, je leur dénie cette aptitude, car il me parait tellement évident que la valeur réelle de tous ces chainons de l'ensemble de la vie et de ce qu'ils renferment et créent est bien supérieur à tout ce que l'on peut en concevoir et appréhender.

Malgré cela maintenant que j'ai bien établie ma pensée à ce sujet, et puisque les chiffres semblent parler plus efficacement que les idées à bon nombre de mes contemporains, je vous soumets cet indice crée par BBC Earth des hommes auxquels je laisse l'entière responsabilité de l'établissement de ces chiffres que je ne cautionne pas, et qui d'après moi sont loin de la vérité, quand bien même ils paraissent déjà énormes, ils sont très en deçà de ce que nous offrent vraiment la nature et ce qui la compose.

La vrai valeur des choses ne serait-elle que financière ? Pour le monde d'aujourd'hui c'est celle qui compte, oui mais !
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