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L'avenir sera ce qu'on en fera !

Pour un avenir durable et partagé. Parce que je veux croire que l'humain et l'humanité qui en émane pourrait ne pas être un cancer pour la terre et un vampire pour ces congénères. Profondément humaniste, pacifiste, je n'entrevois qu'une solution d'avenir durable et pérenne, en finir avec la destruction systémique de notre écosystème nourricier qu'est la planète. Je prône l'égalité d'importance de toute vie, minérale, végétale, animale, humaine car toute vie est interdépendante des autres. Et rappelons nous, la seule énergie qui n'émet pas de GES est celle qu'on utilise pas ! Le superflue de nos consommations c'est de l'énergie vitale que nous volons à nos enfants et aux leurs !

Journée mondiale du refus de la misère, qui va en parler ?

Publié le 17 Octobre 2015 par Daniel JAGLINE djexreveur in Questionnement Fondamental, intérêt général, Information générale, Humanisme, Social, sécurité alimentaire, pauvreté, partage, transition sociétale

Au même titre que pour la plupart des journées pour ou contre quelque chose, je dis la plupart car il doit bien y en avoir qui ne revête peut-être pas le même caractère d'importance voir des thèmes insoutenables, mais pour la grande majorité de celle que je connais, ou dont j'ai entendu parler, c'est quotidiennement que ces causes devraient être le sujet du jour.

Aujourd'hui donc, comme cela aurait du être véritablement le cas hier, et comme cela devra être un sujet pour demain c'est la "Journée mondiale du refus de la misère".

Je ne m'arrête pas à ce type de mise en avant d'ordinaire pour la raison que j'explique en entrée en matière, mais cette fois je m'en empare pour aborder un constat navrant et inquiétant pour le moins, la misère des uns serait-elle plus grave et moins acceptable que celle d'autres ?

Cette question, s'impose face à l'expression de plus en plus visible d'une frange de la population, qui semble découvrir que la misère touche des compatriotes en plein cœur de nos territoires, ce qui serait une bonne nouvelle, si ces miséreux de chez nous, ne devenaient pas un argument soudain devenu majeur pour refuser de venir en aide aux nécessiteux d'ailleurs !

L'un n'empêche pas l'autre ais-je dû rétorquer pas plus tard qu'hier encore dans mon proche entourage sur un ton à la fois de désarrois et de presque colère, tant il me semble au contraire que toutes les misères sont indissociables, et que c'est bien sur tous les tableaux qu'elle devrait être combattu, à nos portes et hors de nos frontières, et s'il faut en importer pour mieux en venir à bout, alors qu'elle entre.

J'ajouterais juste une chose, la misère n'est pas toujours visible.

Journée mondiale du refus de la misère, qui va en parler ?
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