Après avoir pendant quelques décennies supprimer des zones cultivées, arbres, talus et bosquets, créant ainsi de nouvelles conditions culturales uniquement destinées à une orientation de culture étendue, mono-variétale et industrialisée, mais générant des dégradations écosystémiques majeures.
Si la majeure partie des agriculteurs, notamment céréalier ne sont pas près à reconnaître cette erreur, et faire marche arrière, (on peux les comprendre, les étendues vident de tout obstacle sont bien évidemment préférables techniquement), pour beaucoup d'autres formes de cultures, les arguments sont beaucoup moins compréhensibles et recevables.
Alors quand l'un d'entre eux se lance dans un tel mouvement, il mérite qu'on en parle et qu'on le cite en exemple, il n'est bien sûr pas le seul, car nombres d'agriculteurs sont bel et bien soucieux de respecter la nature et ses différents éléments.