Nous entrons dans la sixième grande extinction de masse, et celles et ceux qui ouvrent les yeux savent également qu'en terme de biodiversité global l'hécatombe est tout aussi dramatique.
Les disparitions d'espèces ont été multipliées par un facteur de 8 à 100 depuis 1900, en cause le changement climatique , la pollution, la déforestation, autant dire très clairement et très simplement en cause l'humain qui dans sa volonté de toute puissance sur la nature qui le nourrit, est en train de saborder son propre vaisseau.
Une crise similaire à celle qui a vue la disparition des dinosaures, ils étaient à l'époque le dominant, l'espèce au sommet de la pyramide, est-ce que cela ne nous ferait pas réfléchir un tant soit peu ?
Si certains affirment encore que nous avons les moyens de freiner la perte de biodiversité, tant végétale qu'animale, il n'est question que de freiner, non d'endiguer, ou de stopper.
L'étude fait craindre la disparition rapide d'un quart des espèces de mammifères, la pression croissante des activité humaines dépassent de loin les actions et mesures de protection de l'environnement et de la nature en générale et à ce rythme là ce sont tous les équilibres que nous faisons vaciller.
Notre espèce disparaîtrait probablement assez tôt préviennent les scientifiques, bien sur cela va une nouvelle fois être considéré comme des propos alarmistes bon à classer sans suite, voir à contredire afin de ne pas alarmer les foules, et de toute façon après nous le déluge ne dit-on pas !
Nous sommes le cancer de la terre, nous provoquons la perte de fonctionnement critique des écosystèmes, nous devrions y être tout aussi attentif qu'à la perte des animaux, si nous laissons s'éteindre les espèces au rythme actuel les humains seront bientôt privé des bénéfices de la biodiversité, les deux affirmations précédentes sorte de la bouche des analystes, pas d'écolos voulant jouer sur les peurs comme ont les accuses souvent.