AREVA, en pleine débâcle financière, qui ne reste à flot que parce que les citoyens au travers de l'action de l'Etat, ponctionnée sur les impôts, actionnaire majoritaire, vient d'être pour la énième fois rappelé à l'ordre, en effet des déchets qui devraient être reconditionnés, car potentiellement dangereux depuis des années, ne le sont toujours pas, faute de moyens financiers et humains.
Le nucléaire dont on commence à entrevoir les vrais coûts, faramineux, n'a donc pas fini de nous faire des mauvaises surprises économiques.
Quand ont sait que le seul site retenue pour l'enfouissement des déchets les plus dangereux, celui de Bure, peut être remis en question puisqu'il est hors la loi en quelque sorte, car étant envisagé sur une zone ou une capacité géothermique est possible.
Qui paye, ben les citoyens !