Parmi les causes qui me tiennent à cœur, celle de la reconnaissance internationale du statut de réfugié climatique, et de l'établissement de règles minimales d’accueil et de soutien sur des plans aussi nationaux des populations qui vont devoir migrer, à cause de dégradations environnementales et ou climatiques tient une place très importante.
Pour le moment on peut dire encore qu'il n'y a rien, j'avais sur ce blog relaté l'échec d'une première demande officielle :
Un premier pas vient tout de même d'être franchi, et si comme le dit un adage, c'est le premier pas qui souvent compte le plus et qui est le plus difficile à faire, alors l'espoir est permis. Je ne me fais aucune illusion, il va couler encore beaucoup d'eau sous les ponts, et même par dessus les ponts avant qu'un statut suffisamment protecteur ne soit reconnu et pratiqué mondialement, mais la direction est donnée, de plus en plus de voix vont se faire entendre, pour réclamer ce nouveaux statut de réfugiés climatiques et ou environnementaux, et on finira par l'avoir, mais le plus tôt sera le mieux, et c'est là qu'il va falloir peser, qu'il va falloir se mobiliser.
Saluons la Nouvelle-Zélande qui créer une brèche dans le barrage des frontières, et le vide juridique, et qui ouvre la voie à un nouveau regard sur les déplacements forcés d'enfants, de femmes et d'hommes, soutenons toutes les initiatives qui vont émerger dans ce sens, et l'humanité grandira.