Tout espoir n'est pas encore perdu, il reste le Parlement, qui doit être consulté, et qui peut encore amender ce texte.
Avant même cette validation par le conseil des ministres européens, la cause était entendu, et j'y avais déjà réagi brièvement :
Un autre pas vient donc d'être franchi, alors que rien n'a été vraiment envisagé pour améliorer les processus d'analyses des demandes d'homologations, dont pourtant les faiblesses et défaillances, sont notoires, alors que des études sont en cours, pour lesquelles les résultats ne sont pas connu, ne convenait-il pas d'en attendre les conclusions, si imparfaites soient-elles ?
L'utilisation et la culture des OGM, et du glyphosate parallèle indispensable, fait pourtant apparaître des effets alarmants à plus d'un titre, si l'Europe qui à réussi jusque là à s'en préserver, grâce au fait qu'un seul OGM autorisé et cultivé le Monsanto 810, ait franchi quelques rares frontières, il n'en est pas de même sur d'autres continents, et les dégâts sont nombreux, y compris aux Etats-Unis, un nouvel exemple en révèle la noirceur.
Les semenciers ont donc gagné cette nouvelle bataille, le cadeau empoisonné est bien emballé sous des apparats bénéfiques, mais il reste une étape et j'insiste là dessus, car le nouveau parlement, fraîchement élu, peut encore intervenir, ce sont eux qu'ils va falloir alerter, et massivement, je pense que les associations ne vont pas manquer de communiquer dans ce sens dans les prochains mois.
Des Etats qui devraient négocier avec des entreprises privées, qui elles, seraient en droit de s'opposer ensuite devant des tribunaux, si elles se considèrent laissées par les choix advenant, ça ne vous fait pas penser à quelque chose ?