L'eau c'est la vie, au même titre que l'air et la terre ces éléments et ingrédients vitaux que l'on devrait sacraliser, auxquels ont devrait porter une attention prioritaire, parce que nous sommes issu de cette nature, nous en sommes l'un des développements, ces éléments nous sont vitaux, l'aurions nous oublié !
Après des décennies de dégradations aveugles et forcenées il est grand temps de sortir de ce cercle infernal d'industrialisations diverses et de consumérisme effréné qui provoquent pollutions et dévitalisations.
Il semble que la prise de conscience collective grandisse, c'est un bon signe, mais on n'est très loin de se donner les moyens nécessaires pour inverser cette tendance autodestructrice. A l'exemple de ce qui se passe dans la lutte, pourtant reconnu comme une nécessité absolue, contre le changement climatique, où malgré l'urgence, on ne parvient pas à des engagements à la hauteur de la cause, on ne prend pas la mesure réelle de la situation non plus en ce qui concerne l'état de nos eaux.
On avance tout de même, à tout petits pas, dans la mise en action de mesures correctives en vue de réduire nos impacts sur ces éléments vitaux, cette cadence sera-t-elle assez rapide, tout porte à constater que non, le rythme crescendo des effets néfastes visibles va-t-il finir par convaincre les grands décideurs politiques d'adopter un autre tempo, l'avenir proche nous le dira.
Ce qui est certain c'est que plus personne ne peut plus dire qu'on ne sait pas ce qu'on fait, les ravages sont là, leurs ampleurs progressives ne font plus de doutes, et l'origine anthropique de ces détériorations et altérations, ne peut plus être remise en question, ce que nous avons dénaturer allons nous savoir et pouvoir le revitaliser, rien ne la prouve, mais il va falloir essayer.
Il faut déjà se faire à l'idée que le mieux est d'éviter de dégrader, car réparer s'avère très souvent quasi impossible, c'est bien le constat que fait le plan national d'action en faveur des zones humides (PNZH) en France, je cite : "Compenser est une obligation complexe, souvent coûteuse et pas toujours couronnée de succès, constate le plan. Il convient de mettre l'accent sur les deux premiers volets de la doctrine (…) Eviter et Réduire, le plus en amont possible dans les dispositions des plans, programmes et projets, et en particulier dans les documents d'urbanisme en saisissant l'opportunité des dernières dispositions de la loi ALUR(généralisation des SCOT, multiplication des plans locaux d'urbanisme intercommunaux ) ".
Les opposants au projet du (ex) futur aéroport de NDDL apprécierons !
Il faut d'abord et avant tout éviter et réduire, à tout point de vue, et dans tous les domaines d'activités, l'état des océans en est une autre démonstration, c'est un peu le réceptacle final, là où tout s'accumule, là où s'additionne la somme des effets indésirables de nos excès en tout genres, la liste est longues des atteintes à l'équilibre des océans, alors que l'écosystème global de la planète en est totalement dépendant.
Les océans sont en périls, et si les Etats-Unis semble vouloir prendre cette cause en main, c'est une action globale internationale qui seule pourra inverser cette dénaturalisation mortifère.
Nappes phréatiques, rus, rivières, fleuves, mers et océans, doivent être protégés, sinon c'est la vie elle même qui est mise en danger.