Deux articles se sont télescopés ce jour et m'ont inspiré ce titre improbable, d'une part une enquête lancée par 'France télévision' en partenariat avec 'Yami 2' et 'Upian' intitulée 'Génération Quoi' s'adressant aux citoyens de 18 à 34 ans en France aujourd'hui, et d'autre part le rapprochement qu'en a fait une analyse sur le Blog social de 'Médiapart' intitulée "'ça va péter !' : la révolte qui s'annonce ne sera pas du théâtre".
La parole à été donnée à quelques femmes et hommes politiques afin de leurs permettre de réagir aux résultats de cette enquête.
Il y a plus de trente ans que, déjà, je pensais que seule une révolution citoyenne, que j'espérais pacifique, serait inévitable pour sortir de la voie que je voyais se dessiner et que la société à bel et bien suivi à mon grand dame.
La seule explication ou raison que j'ai à mon grand regret accepté comme explication au fait que cette révolution n'ai toujours pas eu lieu, c'est que la grande majorité des citoyens sont très satisfait du bien être matériel que la révolution industrielle à permis, et de leurs conditions de vie personnelles, au point que remettre cela en cause parait inacceptable et tant pis pour l'avenir, après nous le déluge, comme savent si bien le résumer nombre de nos concitoyens.
Sauf que l'avenir, c'est demain, et que le 'déluge' sociétale se met en oeuvre non pas après nous mais maintenant et à cause de nous, à cause de notre laissé-faire, de notre inaction face à la tournure pourtant bien visible des événements qui ont conduit à l'état de notre société d'aujourd'hui !
Alors ces jeunes qui semblent maintenant tellement plus nombreux que ne l'étaient mes concitoyens de ma jeunesse, qui eux se fichaient royalement pour la plupart de l'évolution de la société, aveuglés par un avenir radieux qu'on leurs promettait, vont-il faire ce que nous n'avons pas su faire, et par quel moyen ?
Est-ce que des scénettes de théâtre-forum pourront déclencher les misent en pratique d'une révolution par la reprise en main de l'avenir, ou bien faudra-t-il en venir aux barricades, ou pas !